Résumé: Au cours des 40 dernières années, la Chine s'est rapidement transformée d'un pays à faible revenu en un pays à revenu intermédiaire de la tranche supérieure grâce à la puissante impulsion déclenchée par la réforme et l'ouverture. ont été considérablement améliorés et des réalisations remarquables ont été réalisées. La maladie chronique de "l'incoordination et l'insoutenabilité" n'a pas encore été résolue, et il est encore difficile de résoudre le problème. Dans le cadre de la "nouvelle normalité", la Chine doit éviter le "piège du revenu intermédiaire", réaliser la transformation du mode de développement économique et le développement intégré des zones urbaines et rurales, et couper complètement le nud mort du "déséquilibré, non coordonné et non durable" , et doit de toute urgence s'appuyer sur des réformes structurelles du côté de l'offre Conformément à la stratégie de revitalisation rurale, et en accélérant la croissance extraordinaire des revenus des agriculteurs, le dividende de la réforme peut être à nouveau entièrement libéré, le "miracle de la croissance" des revenus des agriculteurs peut être poursuivi, et enfin, la coordination urbaine et rurale et la prospérité commune peuvent être réalisées.

Introduction

Le développement de "l'agriculture, des zones rurales et des agriculteurs" de la Chine a toujours été une tâche globale et fondamentale liée au développement de la cause du parti et du peuple, et c'est aussi une question clé qui doit être surmontée afin de construire un société moyennement prospère de manière globale et réaliser le "rêve chinois". Au cours des 40 années de réforme et d'ouverture, l'économie chinoise a fait des bonds continus et le développement de l'agriculture et de l'économie rurale a fait des progrès remarquables. La capacité globale de production agricole a été considérablement améliorée et la production totale de viande et de produits aquatiques dans le pays se classe au premier rang mondial ; le développement rapide de l'agriculture d'installation, la zone des serres se classe au premier rang mondial ; un grand nombre de nouvelles entités de production et de gestion agricoles émergent, et le niveau de mécanisation agricole, les conditions de conservation de l'eau des terres agricoles se sont considérablement améliorées, et l'échelle modérée de l'agriculture s'est développée rapidement. Surtout depuis le début du nouveau siècle, l'État a coordonné le développement urbain et rural, s'est concentré sur le renforcement et l'amélioration de la construction d'infrastructures rurales, a complètement amélioré les services sociaux de base dans les zones rurales et a vigoureusement développé de nouvelles industries et de nouvelles formes d'entreprises dans les zones rurales.

Cependant, force est également de constater qu'à long terme, le moteur interne et le dynamisme d'une croissance soutenue et régulière des revenus des agriculteurs de mon pays sont encore insuffisants, et le système de responsabilité de la gestion contractuelle des ménages (dont le noyau est le domaine agricole système) a été remis en question par tous les horizons. À l'heure actuelle, l'écart de revenu entre les résidents urbains et ruraux en Chine se situe toujours à un niveau élevé, et la tendance à la baisse continue du ratio de revenu des résidents urbains et ruraux s'affaiblit. Le plus grand déséquilibre de la société actuelle de notre pays reste le développement déséquilibré des zones urbaines et rurales, et la plus grande insuffisance reste le développement insuffisant des zones rurales. Par conséquent, il est indéniable que pendant une longue période à l'avenir, la poursuite de la résolution des "trois problèmes ruraux", la réalisation d'une croissance durable des revenus des agriculteurs et la réduction de l'écart de revenus entre les résidents urbains et ruraux resteront des problèmes difficiles qui devront être auxquels est confronté le développement économique durable de la Chine. Ce n'est qu'en résolvant le problème de la durabilité de l'augmentation des revenus des agriculteurs et en réduisant continuellement l'écart de revenu entre les résidents urbains et ruraux que nous pourrons trouver un « bâton » qui peut éliminer rapidement et avec précision de nombreuses discordes sociales, former une intégration économique et sociale urbaine-rurale. modèle, et réaliser l'ensemble Le grand objectif de la prospérité commune pour le peuple.

2. La tendance générale de la croissance des revenus des agriculteurs de mon pays depuis la réforme et l'ouverture

Depuis la réforme et l'ouverture il y a 40 ans, la mise en uvre de la gestion contractuelle des ménages ruraux a établi le système de gestion agricole de base dans mon pays, brisant la stagnation à long terme et la stagnation des niveaux de revenus des agriculteurs dans la période précédente des communes populaires pour plus de 20 ans, puis est entré dans une période de fluctuation de 40 ans de croissance rapide. Dans l'ensemble, la valeur nominale du revenu des agriculteurs de mon pays a montré une tendance à la hausse des fluctuations depuis 1978, et le taux de croissance est généralement resté stable (sauf pendant quelques années), et le taux de croissance moyen est relativement élevé. Plus précisément, l'évolution de la valeur nominale du revenu des agriculteurs de mon pays présente les caractéristiques suivantes : en 1978, la valeur nominale du revenu des agriculteurs de mon pays n'était que de 133,57 yuans. , a atteint 10488,88 yuans et est passée à 13432 yuans. en 2017, et sa valeur absolue a été multipliée par près de 101 au cours des 40 dernières années. Après exclusion du facteur prix (exprimé en prix constants en 1978), le taux de croissance réel annuel moyen a atteint 7,52 % . Parmi eux, le taux de croissance le plus rapide a atteint 18,56% en 1982 et le taux de croissance en 1989 était de -7,48%. (Reportez-vous au tableau 1 et à la figure 1).

Tableau 1 Les caractéristiques de la croissance des revenus des agriculteurs depuis la réforme et l'ouverture et la base de sa répartition par étapes

Figure 1 Taux de croissance nominal et réel des revenus des agriculteurs chinois au cours des 40 dernières années de réforme et d'ouverture

Note : Les données proviennent du site Internet du Bureau national des statistiques et le taux de croissance réel du revenu des agriculteurs est exprimé à prix constants en 1978.

Selon la figure 1, il n'est pas difficile de constater que la croissance du revenu des agriculteurs au cours des 40 dernières années de réforme et d'ouverture n'a pas augmenté en ligne droite, mais a montré des changements périodiques évidents. Parmi eux, le noeud le plus important est la "Décision sur la réforme du système économique" publiée par la troisième session plénière du douzième Comité central du Parti communiste chinois en octobre 1984, qui a marqué le déplacement de l'orientation de la réforme économique de la Chine de la campagne à la ville, et a ouvert la voie à la réforme économique de la Chine.L'ère de l'économie urbaine. Dans la seconde moitié des années 1980, l'impact de l'accélération de l'urbanisation et de l'industrialisation sur l'agriculture et les zones rurales s'est encore intensifié, la charge fiscale agricole a progressivement augmenté, les prix des produits agricoles ont été abaissés de force et l'enthousiasme des agriculteurs pour la culture des céréales s'est accru. frustré. L'avancement rapide de la stratégie de développement de l'industrialisation et de l'urbanisation a entraîné l'accumulation de structures économiques irrationnelles et de conflits entre les zones urbaines et rurales, entre les ouvriers et les paysans, et entre les cadres et les masses. Les problèmes d'un développement déséquilibré, non coordonné, inadéquat et non durable se manifestent de plus en plus, avec des performances exceptionnelles : utilisation inefficace des facteurs, graves atteintes à l'environnement, structure déséquilibrée de la demande, structure de l'offre non coordonnée, répartition spatiale déraisonnable, etc. des revenus des agriculteurs et de l'économie rurale, et la croissance économique régionale urbaine et rurale. L'écart et l'écart entre les travailleurs et les paysans ont continué à se creuser. Au cours de cette période, les revenus des agriculteurs sont entrés dans une période de croissance violente et volatile pendant plus de 20 ans (de 1985 à 2003), passant directement d'un "miracle" de croissance à court terme dans l'étape précédente à un "désastre" de croissance à long terme. " organiser. Parmi eux, le taux de croissance réel annuel moyen du revenu des agriculteurs de 1985 à 1991 n'était que de 1,45%, et le taux de croissance réel annuel moyen du revenu des agriculteurs de 1985 à 2003 n'était que de 4,17%; Il est bien inférieur au taux de croissance du stade de croissance "miracle" précédent, voire une fraction du taux de croissance du stade précédent ; de 1985 à 2003, le taux de croissance des revenus des résidents urbains a été beaucoup plus élevé que celui des résidents ruraux pendant plus de la moitié du temps de 1985 à 2003. En conséquence, le ratio de revenu des résidents urbains et ruraux est passé de 1,86 à 3,23 (voir figure 2). Selon les données de l'Organisation internationale du travail de 2005, le ratio de revenu des résidents urbains et ruraux dans la plupart des pays est moins de 1,6. Depuis lors, le développement de "l'agriculture, des zones rurales et des agriculteurs" a été très apprécié par le Comité central du Parti, et une série de mesures efficaces et majeures ont été introduites. Depuis 2004, le revenu des agriculteurs a repris une bonne tendance à la croissance et atteint une « 14ème augmentation consécutive », qui est aussi la première véritable étape « miracle » de croissance du revenu des agriculteurs à un niveau relativement élevé.

Figure 2 Évolution de l'écart de revenu entre les résidents urbains et ruraux au cours des 40 dernières années de réforme et d'ouverture

3. Répartition par étapes de la croissance des revenus des agriculteurs de mon pays depuis la réforme et l'ouverture

(1) Le stade de croissance extraordinaire du revenu des agriculteurs (1978-1984)

Si l'exploration des modes de gestion agricole dans mon pays a commencé au milieu des années 1950, la véritable réforme du système de gestion rurale est intervenue plus de 20 ans plus tard, à la fin des années 1970. Au tournant de l'été et de l'automne 1978, en raison de la grave sécheresse, le comité provincial du Parti de l'Anhui a osé "prendre le risque du monde" et a pris la décision d'"emprunter des terres pour cultiver du blé". Dix-huit agriculteurs du village de Xiaogang , Fengyang County a signé un accord secret.Accord, proclamant ainsi le début du "contrat de travail" rural. À la fin de 1978, la troisième session plénière du onzième Comité central du Parti communiste chinois a adopté avec succès deux documents importants sur la réforme économique rurale, qui ont ouvert le prélude à la grande réforme rurale chinoise. Diverses formes de systèmes de responsabilité de la production ont été rapidement déployées dans tout le pays en raison d'incitations politiques. Les faits historiques démontrent pleinement la mise en place du système de responsabilité contractuelle des ménages, qui a fortement suscité l'enthousiasme des agriculteurs pour la production. En 1984, le système de responsabilité basé sur les contrats familiaux était devenu la forme la plus élémentaire d'organisation de la production et de l'exploitation couramment pratiquée dans les zones rurales de mon pays. Au début de 1985, la séparation du gouvernement et de la société et la mise en place du gouvernement du canton ont annoncé la fin officielle du système des communes populaires.

À ce stade, la réforme orientée vers le marché unique de mon pays, à commencer par la réforme de l'économie rurale, était la première étape de l'exploration. L'établissement et la mise en uvre généralisée du système de responsabilité contractuelle des ménages agricoles et l'abolition définitive du système des communes populaires étaient les deux principales mesures de réforme de l'économie rurale Réforme du système et du système de circulation des produits agricoles. Par ailleurs, l'essor et le développement rapide des entreprises communales et le développement d'une variété de modes de gestion rurale ont jeté les bases solides d'une croissance continue et rapide des revenus céréaliers et des revenus des agriculteurs durant cette période. dans le revenu des agriculteurs ». Selon les statistiques, le taux de croissance annuel moyen de la production céréalière totale au cours de cette période a atteint 5,45%, soit 2,05 points de pourcentage de plus que la période de collectivisation agricole de 1953 à 1958. La production céréalière par habitant est de 390 kilogrammes, ce qui résout le problème. de l'alimentation et de l'habillement au niveau national d'un seul coup, ce qui suffit à refléter la supériorité de la contractualisation de la production sur les ménages : la valeur nominale du revenu des agriculteurs est passée de 133,57 yuans (1978) à 355,33 yuans (1984). atteint 14,06 % (voir tableau 1), ce qui est bien supérieur au taux de croissance annuel moyen du revenu disponible des citadins au cours de la même période, de 1,84. Parmi eux, la valeur la plus faible du ratio de revenu des résidents urbains et ruraux au cours des 40 années de réforme et d'ouverture se situait également à ce stade, et le ratio de revenu des résidents urbains et ruraux en 1983 n'était que de 1,82 (voir figure 2).

La raison pour laquelle le revenu des paysans peut atteindre une "croissance extraordinaire" et un "miracle de croissance" sans précédent au début de la réforme et de l'ouverture est principalement due aux quatre facteurs suivants : Premièrement, la prémisse d'insister sur le fait que les principaux facteurs de production tels que la appartiennent à la propriété collective La séparation de la propriété foncière et des droits de gestion, c'est-à-dire la promotion générale du système de responsabilité contractuelle des ménages à l'échelle nationale, a libéré la productivité rurale, et les agriculteurs ont augmenté la productivité du travail parce qu'ils ont obtenu la liberté personnelle. Deuxièmement, afin de faire avancer rapidement la réforme rurale, le Comité central du Parti a publié le "Document n° 1" (1)1 concernant l'agriculture pendant trois années consécutives, qui a directement inversé le système rural et accéléré l'achèvement du système unifié d'achat et de vente. système et le système des communes populaires. Dans un contexte où le niveau initial de la production agricole et des revenus des agriculteurs est extrêmement bas, la manifestation la plus directe de la réforme de l'économie rurale est d'assurer une intégration étroite du travail à sa rémunération, ce qui mobilise pleinement l'enthousiasme des agriculteurs pour l'investissement foncier et stimule immédiatement L'enthousiasme des agriculteurs pour la production La relation stable de gestion des contrats fonciers a été bien maintenue, ce qui a entraîné une augmentation rapide de la production céréalière. Troisièmement, dans la période où le revenu des agriculteurs dépendait principalement du revenu de l'entreprise agricole, afin d'assurer l'augmentation continue du revenu de l'entreprise des agriculteurs, l'État a non seulement adopté la méthode d'augmentation directe et substantielle du prix d'achat des céréales, mais a également mis en uvre l'achat unifié à l'extérieur du pays alors que la production céréalière continuait d'augmenter La méthode de surachat majoration et moyens de production subventions matérielles. Parmi eux, l'indice des prix d'achat des produits agricoles en 1979 a augmenté de 22,1% (2) 2. Même pendant cette période, le taux de croissance annuel moyen de l'indice des prix d'achat des produits agricoles a atteint 7,1%, au contraire, l'indice des prix des moyens de production agricole dans l'ensemble de l'étape La moyenne n'était que de 102,4. Quatrièmement, l'essor des entreprises communales et le développement de diverses exploitations rurales ont augmenté les sources de revenus des agriculteurs et assuré la croissance rapide des revenus non agricoles des agriculteurs. À ce stade, le Comité central du PCC s'est également rendu compte que les zones rurales chinoises pouvaient également emprunter la voie du développement global de « l'agriculture, de l'industrie, de l'industrie, des transports, de la construction et des services de transport » (c'est-à-dire le début de l'industrialisation rurale), qui non seulement a donné aux communes et aux entreprises de brigade une perspective globale (1984). Le document central n° 4 les rebaptise entreprises de canton, ci-après dénommées collectivement "entreprises de canton et de village"), accordant une grande importance à la stratégie de développement, et en termes de business la portée, le mode d'entreprise, le plan de production, l'approvisionnement et la commercialisation des produits, les prêts bancaires, la fiscalité et d'autres aspects sont spécialement conçus pour les entreprises des cantons. Une série de politiques d'accompagnement ont été formulées.

Il convient de noter que le « énorme » succès à ce stade reposait en fait sur la prémisse que le niveau initial de développement économique était extrêmement faible, mais en fait, il a masqué de nombreux problèmes historiques laissés avant la réforme et l'ouverture, tels que comme le fait que le système économique rural était encore organisé pour Le redressement de l'ensemble de l'économie nationale, le développement incliné de l'industrie lourde et la mise en uvre de la stratégie de développement de l'urbanisation ont ouvert la voie à l'ensemble de l'environnement politique macroéconomique et du mécanisme microéconomique Il est difficile de satisfaire efficacement l'aspiration infinie du peuple à une vie meilleure, ce qui entraîne des déséquilibres structurels, en particulier l'ingérence politique excessive dans l'économie, mettant en doute la bonne direction de la réforme en raison de problèmes dans la réforme, et provoquant la montée d'idées téméraires en raison du succès à court terme de la réforme , rendant impossible la formation d'un consensus cohérent sur la réforme, ce qui affecte directement la stabilité de l'économie et de la société rurales. Par conséquent, cela apportera inévitablement de grands désavantages à la croissance des revenus des agriculteurs à l'avenir, et le déplacement ultérieur de la réforme économique de la Chine vers les villes et les villages est une bonne illustration de ce problème.

(2) Le stade de croissance lente des revenus des agriculteurs (1985-1988)

Cette étape correspond à la période de la réforme du système unifié d'achat et de commercialisation des produits agricoles dans mon pays et à l'évolution rapide de la structure industrielle rurale. Corrélativement, en raison de l'impréparation des circuits de stockage et de circulation des produits agricoles, l'offre totale de produits agricoles dépasse la demande, et la structure des produits agricoles nationaux est apparue en 1985. Pour la première fois depuis la fondation de la République populaire de Chine, il y a eu une "difficulté à vendre" dans certaines régions, qui est le bas niveau périodique et excédent localisé de produits agricoles. A cet égard, les dirigeants se font des illusions, pensant que la production agricole nationale a passé le test, et que le prix d'achat des produits agricoles a continué de tourner à un niveau élevé dans l'étape précédente, rendant les subventions financières pour les produits agricoles en vrac tels que les céréales et le pétrole ne viennent qu'après les pertes financières des entreprises industrielles d'État. Les subventions, lorsque la solidité financière elle-même est relativement faible, ne peuvent naturellement pas attendre pour se débarrasser de cet énorme fardeau, associé à l'illusion d'une production excédentaire de produits agricoles dans certaines régions, de sorte que le gouvernement a décidé d'annuler le système de distribution et d'achat centralisés de produits agricoles, ce qui a commencé le vrai sens La première réforme du système de circulation des céréales en Chine a mis fin au système vieux de 31 ans d'achat et de distribution unifiés de produits agricoles, et progressivement mis en place un système de circulation des marchés pour les produits agricoles sous le contrôle du gouvernement. Puisqu'il s'agit d'une commande contractuelle (3) 3, le prix des produits agricoles a en fait diminué, et en même temps, la production agricole d'origine signifie que les subventions ont été annulées, et le revenu des agriculteurs et le coût de la culture des céréales ont chuté et augmenté, ce qui a sérieusement freiné la capacité des agriculteurs à s'engager dans la production agricole.Par conséquent, les agriculteurs rationnels réduisent la superficie de plantation de céréales et réduisent l'apport de terres arables pour la plantation de céréales.

La première réforme du système de circulation des céréales en Chine a mis en uvre une politique de libéralisation complète des autres produits agricoles et la politique d'ajustement du marché a obtenu des résultats remarquables. Le taux de croissance annuel moyen de la production est de 14,42 % et 14,44 %). Cependant, ce n'est pas le cas pour les produits agricoles en vrac, car la réforme à double voie des produits agricoles en vrac n'affecte pas le système de vente, mais concerne uniquement le système d'acquisition, ce qui conduit directement à l'inversion du prix et de la quantité d'achat et de vente des produits agricoles en vrac. Les subventions financières du gouvernement ont augmenté plus rapidement qu'avant 1984. Conformément à la volonté du gouvernement de réduire la charge financière et à l'activation de la réforme industrielle urbaine après 1984, le gouvernement a assoupli son contrôle sur les prix des moyens de production agricoles et a progressivement supprimé les subventions à l'agro-industrie. tendance à la hausse en peu de temps. Son taux d'accroissement a atteint 16,2 % en 1988 et atteint 7,3 % sur l'ensemble de la période, entraînant une forte baisse des avantages comparatifs de la production agricole. De 1986 à 1988, la production et l'exploitation agricoles se sont fortement contractées, en particulier la production céréalière a été atone et la production céréalière a fluctué avec un taux de croissance annuel moyen de -0,73 % Les revenus des agriculteurs ont également été gravement touchés. La valeur nominale du revenu des agriculteurs est passée de 397,60 yuans à 544,90 yuans, mais le taux de croissance réel annuel moyen du revenu des agriculteurs n'était que de 1,88 %, soit 12,21 points de pourcentage de moins qu'à l'étape précédente. 0,29 % en 1988.

Au cours de la période de 1985 à 1988, bien que la production agricole ait connu des difficultés, des entreprises communales et villageoises ont émergé durant cette période, brisant les restrictions des "trois locaux" et des "deux roues" (1) 4. Le nombre d'entreprises communales en 1985 était de supérieur à celui de 1984. Il a doublé annuellement pour atteindre 12,23 millions, la valeur ajoutée des entreprises des cantons est passée de 77,239 milliards de yuans à 174,239 milliards de yuans, le taux de croissance a atteint un niveau annuel moyen de 30,04 % et la croissance cumulée a atteint 125,58 %. la valeur a augmenté de 62,13 % par rapport à l'année précédente ; le revenu total des entreprises du canton est passé de 126,8 milliards de yuans à 423,2 milliards de yuans, et la valeur totale de la production est passée de 170,989 milliards de yuans à 649,566 milliards de yuans, et la valeur totale de la production représentait la proportion de la valeur totale de la production sociale rurale, passant de 20 % à plus de la moitié. En raison de la croissance rapide des entreprises des cantons et des villages, plus de 43,4 millions d'agriculteurs travaillent à temps plein ou à temps partiel dans les entreprises des cantons et des villages (le nombre d'employés dans les cantons et les villages tout en résolvant efficacement l'emploi non agricole des agriculteurs, il augmente également la source de revenu des agriculteurs. Le revenu non agricole par habitant des agriculteurs est passé de 122,12 yuans à 179,7 yuans à ce stade, limitant largement la forte réduction de la croissance des revenus des agriculteurs en raison de la lenteur de la production agricole. Par conséquent, l'importance du développement des entreprises des communes et des villages pour le revenu des agriculteurs est évidente.

Mais tout a ses deux faces. En même temps, il faut aussi voir que le développement rapide des entreprises communales et villageoises occupe également une grande quantité de terres arables. En 1985, la superficie des terres arables occupées par les entreprises communales et villageoises atteignait 1,39 million de mu. Dans une certaine mesure, l'occupation d'une grande quantité de terres a directement entraîné la réduction de la production céréalière en 1985, ce qui a fait baisser le revenu agricole des agriculteurs. De plus, force est d'admettre que le contenu objectif de l'économie rurale a changé depuis, il faut distinguer les deux notions de situation économique rurale et de situation économique agricole. Une bonne situation économique rurale n'est pas la même chose qu'une bonne situation agricole. Dans la plupart des régions du pays, la situation économique rurale est bonne, mais l'agriculture est confrontée à une situation de stagnation et de tension de la production alimentaire, ce qui conduit à une situation où les revenus agricoles et les revenus non agricoles des agriculteurs fluctuent, ce qui limite croissance des revenus des agriculteurs Optimisation de la structure.

(3) Le stade de stagnation de la croissance des revenus des agriculteurs (1989-1991)

En raison de la baisse rapide du taux de croissance des revenus des agriculteurs et d'une nouvelle réduction importante de la production céréalière depuis le "Grand Bond en avant" de l'étape précédente, les décideurs ont dû se recentrer sur la question foncière, qui a donné naissance au " La loi sur la gestion des terres" et la loi sur l'administration des terres de l'État. L'émergence du Bureau de l'administration a commencé à se concentrer sur la construction du système d'allocation et d'utilisation des ressources foncières. Cependant, il y a une incompréhension évidente des leçons tirées de cette grande réduction des rendements céréaliers. L'accent est mis sur les questions liées à la protection de la quantité de terres arables, tout en ignorant la question plus importante de la protection et de l'amélioration de la qualité des terres arables. Par conséquent, le problème de la lenteur de la croissance du revenu des agriculteurs au stade précédent n'a pas été fondamentalement résolu, mais il s'est encore élargi à ce stade. De 1989 à 1991, le revenu des agriculteurs n'a augmenté que de 107,09 yuans. Le taux de croissance réel a stagné pour la première fois depuis la réforme et l'ouverture, à seulement 0,87 %, alors que le taux de croissance réel des revenus des citadins atteignait 5 % sur la même période, et que l'écart de revenu entre les citadins et les ruraux revenait rapidement au niveau d'avant la réforme et ouverture (voir figures 1 et 2).

La croissance du revenu des agriculteurs à ce stade est fondamentalement dans un état de stagnation. En résumé, les principales raisons sont les suivantes : premièrement, en raison de l'asymétrie entre la qualité de l'offre et de la demande de produits agricoles, l'offre de produits agricoles de la l'offre et la demande initiales à long terme sont asymétriques. Les pénuries ont commencé à se transformer en une offre effective insuffisante et la production céréalière a augmenté alors que les revenus des agriculteurs n'ont pas augmenté. De 1989 à 1991, les taux de croissance du soutien fiscal à l'agriculture ont atteint respectivement 24,23 %, 15,76 % et 12,91 %. En 1990, la production de céréales et de coton a augmenté respectivement de 9,49 % et 19 %. le prix de commande des principaux produits agricoles tels que les céréales et le coton était inférieur au prix du marché. , la situation de "difficulté à vendre les céréales" est réapparue en divers endroits, et il y avait des contradictions irréconciliables entre l'augmentation de la production agricole (en particulier l'augmentation de la production céréalière) et l'augmentation des revenus des agriculteurs, obligeant à engager la deuxième réforme du système de circulation des céréales (1) 5. Deuxièmement, la forte hausse des coûts de production agricole au cours de cette période s'est accompagnée d'une baisse du prix d'achat des produits agricoles. Cet « écart en ciseaux » entre les prix des produits industriels et agricoles a directement entraîné une réduction des avantages comparatifs de la production agricole. , entraînant une baisse continue des marges bénéficiaires de la production agricole, fortement meurtrie, entraînant dans une certaine mesure le phénomène de stagnation des revenus des agriculteurs. Parmi eux, les prix des moyens de production agricoles ont augmenté respectivement de 18,9 %, 5,5 % et 2,9 % en 1989, 1990 et 1991, sur la base de la hausse de 16,2 % en 1988, tandis que l'indice des prix d'achat des produits agricoles a augmenté de 18,9 %. %, 5,5 % et 2,9 % respectivement en 1990 et 1991. Il a diminué de 2,6 % et 2 % l'année précédente. Troisièmement, en raison de la dépendance croissante des agriculteurs vis-à-vis des revenus non agricoles et du fait que le macro-contrôle de l'État est gravement préjudiciable au développement des entreprises des cantons et d'autres industries non agricoles, les possibilités d'emploi non agricole des agriculteurs ont été considérablement réduites. réduit et le revenu non agricole des agriculteurs a connu une croissance négative. En raison du développement rapide des entreprises de canton au cours de la période précédente, la poursuite du développement des entreprises de canton et la concurrence pour les matières premières, les ressources énergétiques et les produits se sont produites dans la poursuite du développement des entreprises de canton. En même temps, afin de répondre à l'industrialisation -axée sur la stratégie de développement, la troisième session plénière du treizième Comité central a mis en avant la politique de réforme consistant à "gouverner l'environnement économique et rectifier l'ordre économique". Au cours des deux années qui ont suivi, une tendance à "réprimer les entreprises gérées par les cantons et à protéger toutes les entreprises populaires" a émergé dans tout le pays. En conséquence, le cadre de vie des entreprises des communes et des villages se dégrade et la dynamique de développement s'est fortement détériorée. Un grand nombre d'entreprises sont généralement sous-exploitées, voire obligées de fermer directement. La perte d'entreprises a fortement augmenté ( 2) 6. En conséquence, près de 3 millions d'employés des entreprises communales et villageoises doivent réintégrer l'équipe de production agricole.

(4) La phase de reprise de la croissance des revenus des agriculteurs (1992-1996)

Au printemps 1992, Deng Xiaoping a fait une tournée dans le sud et a prononcé un discours important et la convocation réussie du 14e Congrès national du Parti communiste chinois, proposant clairement l'objectif d'établir un système économique de marché socialiste. Par conséquent, à ce stade, en tant qu'étape initiale de la mise en place d'un système d'économie de marché dans mon pays, les dividendes de la réforme ont été largement libérés. Par conséquent, la vitesse de développement économique national a atteint un nouveau sommet depuis la réforme et l'ouverture, et le taux de croissance annuel moyen réel du PIB atteint 11,89 % (voir tableau 1). Dans le même temps, avec la nouvelle libération des dividendes de la réforme, le taux de croissance des revenus des agriculteurs a également fortement rebondi, modifiant d'un seul coup la croissance lente et stagnante des deux premières étapes. La valeur nominale du revenu des agriculteurs est passée de 783,90 yuans à 1926,07 yuans, soit une augmentation de 2,46 fois en seulement cinq ans, et le taux de croissance annuel moyen du revenu nominal des agriculteurs a atteint 22,39 %. Cependant, en raison de la surchauffe de l'économie, le taux d'inflation à ce stade a atteint 14,12%, de sorte que le taux de croissance réel annuel moyen du revenu des agriculteurs après déduction des facteurs de prix n'était que de 7,90%. Parmi eux, sauf en 1993, le taux de croissance réel n'était que de 3,42%, le taux de croissance réel des trois autres années dépassait 5% et le taux de croissance réel en 1996 atteignait 13,12%, un record depuis 1983.

De toute évidence, l'augmentation rapide des revenus des agriculteurs à ce stade est indissociable de la mise en place du système économique de marché, qui comprend les quatre aspects suivants : Premièrement, le système économique agricole et rural a également accéléré les changements de direction de l'économie de marché au cours de cette période, devenant une La récolte agricole exceptionnelle et la croissance des revenus des agriculteurs à ce stade sont le soutien le plus direct. Parmi eux, la production de céréales et d'autres principaux produits agricoles a augmenté et le taux de croissance est relativement stable, et le taux de croissance annuel moyen de la production de céréales, de fruits et de produits aquatiques est de 3,06 %, 16,52 % et 19,60 % respectivement. Sur la base de la stabilisation des droits fonciers contractuels de gestion, le cadre de base pour le développement du système foncier a été proposé pour la première fois à ce stade, à savoir, sur la base de la prolongation du contrat foncier pour 30 ans, le mécanisme de circulation des les droits d'utilisation des terres agricoles ont été établis et les droits d'utilisation des terres rurales de base ont été établis. Le statut juridique du système de gestion a encore amélioré le système d'utilisation des terres agricoles. L'"Amendement à la Constitution de la République populaire de Chine" adopté le 29 mars 1993 a fondamentalement établi le statut juridique du système de responsabilité contractuelle des ménages ruraux. Sur cette base, toutes les régions du pays ont procédé à une gestion à échelle modérée des terres agricoles, y compris la vente aux enchères du droit d'utiliser les « quatre pentes arides, les plages arides, les collines arides et le fossé aride ». Deuxièmement, l'État encourage la réforme du système de circulation des céréales et augmente continuellement le prix d'achat des produits agricoles et secondaires. En décembre 1991, le Conseil d'État a publié l'"Avis sur la dynamisation de la circulation des produits agricoles", qui a commencé à ouvrir les opérations céréalières, exigeant uniquement de toutes les régions qu'elles veillent à ce que les 50 milliards de kilogrammes de céréales commandés par l'État chaque année soient remplis. . En septembre 1992, le Conseil d'État a publié le document "Décision sur le développement d'une agriculture à haut rendement, de haute qualité et efficace", qui stipule que toutes les provinces qui ont achevé les tâches de commande peuvent proposer des plans de mise en uvre et les soumettre au Conseil d'État. Pour approbation. En février 1993, le Conseil d'État a publié l'"Avis sur l'accélération de la réforme du système de circulation des céréales". À peine deux mois plus tard, jusqu'à 95 % des comtés et des villes du pays ont libéralisé les prix et les opérations des céréales. Avec la libéralisation des prix des céréales, le prix national des céréales a commencé à augmenter fortement dans la seconde moitié de 1993, et la politique nationale a dû être durcie à nouveau au début de 1994. Les négociants privés en céréales n'étaient pas autorisés à acheter des céréales et le département gouvernemental des céréales était spécialisé. C'est également à ce stade que l'État a augmenté le prix d'achat des produits agricoles et secondaires par deux fois en 1994 et 1996. La hausse des prix a été d'environ 40 %, de sorte que la contribution de l'augmentation du prix des produits agricoles à l'augmentation du revenu des agriculteurs a atteint 28% au cours de cette période. Troisièmement, avec la réforme de l'économie de marché, les entreprises des cantons et des villages ont mis en uvre un ajustement structurel axé principalement sur l'ajustement de la structure industrielle, et avec l'accélération continue du progrès technologique, les entreprises des cantons et des villages sont à nouveau entrées dans une phase de développement rapide, qui a joué un rôle central dans la croissance des revenus des agriculteurs. Selon les statistiques de "30 ans d'entreprises de cantons et de cantons en Chine", le nombre d'employés dans les entreprises de cantons et de villages est passé de 105,81 millions en 1992 à 130,58 millions en 1996, soit une augmentation de 23,4 % ; le bénéfice total des entreprises de cantons et de villages les entreprises villageoises ont également augmenté de 1,1% au cours de la même période, passant de 07,9 milliards de yuans à 435,6 milliards de yuans et le montant total a plus que quadruplé. Le revenu non agricole des agriculteurs est passé de 272,91 yuans par habitant en 1992 à 714,25 yuans en 1996, avec un taux de croissance réel annuel moyen de 14,59 %. Couplé au grand nombre d'agriculteurs qui travaillent, la proportion du revenu des agriculteurs des industries non agricoles a continué d'augmenter.35% des nouveaux revenus proviennent du développement des industries rurales non agricoles et de la main-d'uvre partant travailler. Quatrièmement, une exploration préliminaire de la modernisation agricole et rurale a été effectuée. Dans les années 1980, mon pays a commencé à explorer activement les voies de la modernisation agricole et rurale. Y compris le document central n ° 11 en 1993 "Plusieurs politiques et mesures pour le développement de l'agriculture et de l'économie rurale", en mai 1994, le Bureau général du Conseil d'État a transmis la "Notification du ministère des Finances sur plusieurs politiques de développement agricole global ", en mai 1995, le Comité central du Parti communiste chinois, "Décision sur l'accélération du progrès scientifique et technologique" du Conseil d'État, "Suggestions du Comité central du Parti communiste chinois sur la formulation de la "Ninth Five-Year Plan" pour le développement économique et social national et les objectifs à long terme pour 2010, adopté par la cinquième session plénière du 14e Comité central du Parti communiste chinois le 28 septembre 1995, Tous ont présenté des opinions systématiques sur le développement de agriculture moderne.

(5) Le stade de déclin continu de la croissance des revenus des agriculteurs (1997-2000)

Cette étape est une période importante au cours de laquelle le statut juridique du système de gestion rurale de base dans mon pays a été formellement établi, y compris la stabilisation de la relation contractuelle foncière en 1997, l'extension de la période de contractualisation foncière de 30 ans et la mise en place progressive la mise en place d'un mécanisme de transfert des terres ; la loi de 1998 sur les contrats fonciers ruraux et l'"amendement à la Constitution de la République populaire de Chine" de 1999 ont clairement défini le "système de gestion à deux niveaux basé sur la gestion contractuelle des ménages et combinant une gestion unifiée et séparée" comme système de gestion de base dans les zones rurales de mon pays. À ce stade, la valeur nominale du revenu des agriculteurs n'a augmenté que de 2090,13 yuans à 2253,42 yuans, mais le taux de croissance réel des revenus des agriculteurs a subi une baisse continue sans précédent, et il a considérablement diminué d'année en année, passant de 13,12 % de 1996 à 1997. 5,88 % en fin d'année, puis chute à 2,07 % en fin de période, avec un taux de croissance réel annuel moyen de seulement 4,06 % (tableau 1 et figure 2 détaillés). Cela reflète d'un côté que l'augmentation des revenus des agriculteurs n'est plus une question purement agricole, mais est étroitement liée au développement de l'ensemble de l'économie chinoise.

Le taux de croissance du revenu des agriculteurs à ce stade a continué de baisser, principalement en raison de la diminution de la contribution du revenu agricole et de la restriction des sources de revenu non agricoles : premièrement, la contribution du revenu agricole à la croissance du revenu des agriculteurs a été fortement réduite . La situation de l'offre et de la demande de produits agricoles a subi un changement fondamental, c'est-à-dire qu'il y a eu une situation d'offre excédentaire progressive, et la contradiction entre l'augmentation de la production mais pas l'augmentation des revenus et le problème de la réduction de la production et de la diminution des revenus coexistent. En 1998, la production céréalière totale nationale a atteint 512295300 tonnes, le niveau le plus élevé de l'histoire. Un grand nombre de produits agricoles et annexes ont de nouveau été "difficiles à écouler", tandis que les prix des céréales et d'autres produits agricoles majeurs ont fortement chuté (la l'indice des prix d'achat des produits de 1997 à 2000). Sur la base de l'année précédente, ils ont diminué respectivement de 4,5%, 8%, 12,2% et 3,6%, avec une baisse moyenne annuelle de 7,1%). la baisse annuelle moyenne de l'indice des prix des moyens de production agricole n'a été que de 2,8%, ce qui est bien inférieur au prix d'achat des produits agricoles.La baisse annuelle moyenne de l'indice a pour conséquence directe l'augmentation de la production agricole mais pas l'augmentation des revenus des agriculteurs, ce qui conduit finalement à une diminution substantielle de l'enthousiasme des agriculteurs pour la production agricole. En 1999 et 2000, le taux de déclin des céréales était de 0,76% et 9,09% respectivement, et la production totale de céréales en 2000 est tombée à 462175200 tonnes. En outre, selon les statistiques pertinentes, le revenu net par habitant des agriculteurs provenant de l'agriculture a diminué de 129,3 yuans en 2000 par rapport à 1997. La seconde est la surchauffe économique de l'étape précédente et l'éclatement de la crise financière asiatique en 1997. La croissance économique de la Chine s'est rapidement ralentie, le développement des entreprises des townships s'est heurté à des goulots d'étranglement et la croissance des revenus non agricoles des agriculteurs s'est ralentie. sévèrement restreint. Après le discours de Deng Xiaoping dans le sud, sous l'agitation des gouvernements locaux, la Chine a déclenché une vague d'investissements accélérés.L'expansion rapide des investissements a entraîné un grand nombre de constructions redondantes et accumulé les dangers cachés d'une capacité de production excédentaire. Après le déclenchement de la crise financière de l'Asie du Sud-Est en 1997, la demande sur le marché international a fortement chuté et le taux de croissance de l'économie chinoise a rapidement ralenti (voir le tableau 1, le taux de croissance du PIB réel à ce stade a chuté de 4,56 points de pourcentage par rapport à l'étape précédente). D'une part, l'exportation des entreprises municipales de mon pays a été sérieusement entravée et la concurrence sur le marché intérieur s'est intensifiée. Surtout après leur entrée sur le marché des acheteurs, le développement des entreprises des cantons et des villages a considérablement ralenti, leurs avantages ont également fortement diminué et leur capacité à absorber le surplus de main-d'uvre rurale a été considérablement réduite. Parmi eux, le nombre d'employés dans les entreprises de canton et de village a diminué de 4,58 millions en 1977 par rapport à l'année précédente, et a encore diminué de 5,22 millions en 1988. Cette tendance à la baisse n'a été supprimée que depuis 1999, mais la vitesse de reprise a été extrêmement limitée . D'autre part, la croissance de la demande intérieure de produits agricoles et la hausse des prix ont été inhibées, et le transfert de la main-d'uvre et de l'emploi rural a été entravé. Même le revenu non agricole des agriculteurs a augmenté de manière significative par rapport au revenu agricole à ce jour stade, devenir une La principale source d'augmentation des revenus des agriculteurs, mais le taux de croissance a également chuté de manière significative, et la force motrice de la croissance des revenus des agriculteurs est extrêmement limitée.

(6) La phase de reprise de la croissance des revenus des agriculteurs (2001-2003)

Depuis le début du nouveau siècle, la production et la gestion agricoles de mon pays ont été mises à rude épreuve. En 2001, la production céréalière a chuté de 2,06 % sur la base de la baisse de 9,09 % en 2000. Bien qu'il y ait eu une légère tendance à la reprise en 2002, et le 14 octobre 2003 Le 1er juillet, la troisième session plénière du 16ème Comité central du Parti communiste chinois a clairement souligné que les droits des agriculteurs à la gestion contractuelle des terres devraient être garantis conformément à la loi. Cependant, il n'a toujours pas réussi à récupérer la nouvelle baisse de la production céréalière. En 2003, la production céréalière est tombée à un niveau record de 430,6953 millions de tonnes, soit une baisse de 5,77 % par rapport à l'année précédente et même plus bas que le niveau d'il y a 12 ans. Bien que la production céréalière au cours de cette période ait complètement diminué et que la production agricole ait également été mise à rude épreuve, la nouvelle baisse des revenus des agriculteurs a été effectivement contenue et la valeur nominale du revenu des agriculteurs est passée de 2366,4 yuans à 2622,24 yuans au cours de cette période. Le taux de croissance réel moyen a été de 4,48 %. Parmi eux, le taux de croissance réel du revenu des agriculteurs en 2001 a atteint 4,17%, renversant la situation défavorable selon laquelle le taux de croissance du revenu des agriculteurs a diminué pendant quatre années consécutives depuis 1997. Les taux de croissance réels en 2002 et 2003 ont atteint 5,03% et 4,26% respectivement (voir Figure 1), les revenus des agriculteurs sont ainsi rentrés dans la période de reprise de la croissance.

Cette étape est une période de réforme économique rurale relativement concentrée, et le revenu des agriculteurs a été rétabli dans une certaine mesure, principalement en raison des aspects suivants : premièrement, la réforme économique rurale a été encore approfondie et, sur la base de l'étape précédente , l'État Le cadre de base du système foncier rural a encore été amélioré. La "Décision du Comité central du Parti communiste chinois sur plusieurs questions concernant l'amélioration du système économique de marché socialiste" adoptée par la troisième session plénière du Le 16e Comité central du PCC a souligné que "les droits des agriculteurs à la gestion contractuelle des terres sont garantis conformément à la loi". D'autre part, le 20 août 2001, la réforme des achats et des ventes de céréales a été lancée et, en 2002, les provinces d'Anhui et de Jilin ont été sélectionnées pour mener à bien la réforme pilote du système de circulation des céréales. l'exploration, le Conseil d'Etat a commencé à promouvoir progressivement la réforme des taxes et redevances rurales à l'ensemble du pays, notamment en juin 2003, le Ministère des Finances et l'Administration d'Etat des Impôts ont publié conjointement un avis obligeant les zones pilotes à supprimer progressivement les spécialités agricoles. la taxe spéciale sur les produits agricoles mise en place dans mon pays depuis plus de 20 ans. Deuxièmement, la population active occupée rurale a connu à ce stade une baisse rapide, avec une baisse annuelle moyenne de 0,98 %, et elle a commencé à dépasser 1 % en 2002 ; dans le même temps, la population active occupée urbaine a augmenté rapidement, avec une baisse annuelle moyenne taux de croissance de 4,25% nettement supérieur aux deux premières étapes. Par conséquent, l'augmentation et la diminution de l'emploi urbain et rural ont pleinement garanti le transfert de l'emploi de la main-d'uvre rurale excédentaire. Par conséquent, le taux de croissance réel du revenu salarial des agriculteurs à ce stade a atteint 8,63 %, soit près du double du taux de croissance réel. du revenu net par habitant des agriculteurs. Partant du principe que la croissance du revenu d'exploitation des ménages des agriculteurs est extrêmement limitée, la hausse rapide des revenus salariaux a effectivement assuré la reprise de la croissance des revenus des agriculteurs.

(VII) La « 14e hausse consécutive » du revenu des agriculteurs (2004-2017)

Après avoir connu une baisse continue de quatre ans du revenu net par habitant des agriculteurs de 1997 à 2000, la production céréalière a diminué d'année en année de 2001 à 2003. le développement économique a été limité. Résoudre les "trois problèmes ruraux", réaliser une croissance durable des revenus des agriculteurs et réduire l'écart de revenus entre les résidents urbains et ruraux est devenu la priorité absolue du parti et du gouvernement à tous les niveaux, et l'orientation de la réforme économique chinoise s'est à nouveau déplacée à la campagne. Afin d'ajuster la stratégie de développement urbain-rural de longue date et de combler le retard dans le développement économique national, qui accuse un sérieux retard dans le développement de "l'agriculture, des zones rurales et des agriculteurs", le "16e Congrès national du Parti communiste de Chine" a mis en avant la stratégie de base du "développement coordonné de l'économie urbaine et rurale", et depuis 2004 Depuis 2004, le Comité central du Parti communiste chinois a successivement publié 15 (2004-2018) "No. En outre, le « 18e Congrès national du Parti communiste chinois » a également mis l'accent sur le « renforcement de la politique de renforcement des agriculteurs, de bénéficier aux agriculteurs et d'enrichir les agriculteurs, de se concentrer sur la promotion de l'augmentation des revenus des agriculteurs et de maintenir les revenus des agriculteurs pour continuer à croître rapidement. ." Emploi et entrepreneuriat multicanaux, améliorer le système et le mécanisme de distribution en fonction des facteurs, promouvoir une répartition des revenus plus raisonnable et ordonnée, élargir les canaux des revenus du travail et des revenus de la propriété des résidents et réduire l'écart de répartition des revenus."

Le "Document n° 1" central pendant 15 années consécutives porte le patronyme "Nong". À l'exception de 2011, les 14 autres "Documents n° 1" ont pris des dispositions extrêmement précises pour favoriser l'augmentation continue des revenus des agriculteurs. Parmi eux, les « Documents n° 1 » de 2004, 2008 et 2009 directement intitulés « Augmenter les revenus des agriculteurs ». On peut dire que les "Documents n° 1" successifs ont progressivement formé un cadre politique systématique pour renforcer, bénéficier et enrichir les agriculteurs. Par exemple, abolir complètement les taxes agricoles, augmenter les prix des produits agricoles, promouvoir l'intégration des industries rurales, promouvoir le transfert de l'emploi et de l'esprit d'entreprise des agriculteurs et approfondir la réforme du système de droits de propriété collectifs ruraux ; mettre en uvre des politiques telles que les subventions directes pour les producteurs de céréales et les subventions pour les variétés améliorées, mettre en uvre et améliorer les subventions globales pour les matériaux agricoles, et étendre la taille et la portée des subventions. Si nous disons que les neuf premiers "documents n ° 1" centraux doivent mettre en uvre l'esprit des 16e et 17e Congrès nationaux du Parti communiste chinois et "donner plus, prendre moins et lâcher prise" comme ligne directrice, réaliser la transformation stratégique de l'industrie pour nourrir l'agriculture et des villes pour soutenir les zones rurales. Ensuite, le « Document n° 1 » pendant quatre années consécutives de 2013 à 2016 était directement axé sur la « Modernisation agricole », tandis que la « Réforme structurelle de l'offre agricole » en 2017 et la « Mise en uvre de la stratégie de revitalisation rurale » en 2018 Mettre pleinement en uvre l'esprit des 18e et 19e Congrès nationaux du Parti communiste chinois, et s'efforcent d'activer la vitalité inhérente du développement agricole et rural par des réformes approfondies, de promouvoir la modernisation et la transformation de l'agriculture et des zones rurales, de guider les agriculteurs pour qu'ils innovent et commencent entreprises et permettre aux agriculteurs de participer au processus de modernisation sur un pied d'égalité Partager les fruits de la modernisation. On peut dire que le développement de la cause des "trois zones rurales" en Chine a fait de grands progrès au cours des 15 dernières années.Ces 15 années sont les 15 années glorieuses, les 15 années où les politiques préférentielles du parti ont été émises de la manière la plus intensive et les plus durables. et Les 15 années pendant lesquelles les agriculteurs ont reçu le plus d'avantages, la croissance des revenus la plus soutenue, l'amélioration la plus rapide du niveau de vie et les plus grands changements dans le paysage rural. Il est vrai que la croissance des revenus des agriculteurs à ce stade est de nouveau entrée sur une autre voie rapide depuis la réforme et l'ouverture, et le "miracle" de "14 augmentations consécutives" a été réalisé sur la base de revenus plus élevés. La valeur nominale du revenu des agriculteurs a rapidement franchi les seuils de 5000 yuans (2009) et 10000 (2014) passant de 2936,4 yuans en début de période, et est passée à 13432 yuans en 2017. Le taux de croissance réel annuel moyen des revenus des agriculteurs revenu est de 8,80 % (voir tableau 1) et a dépassé le taux de croissance du revenu des citadins pendant huit années consécutives depuis 2010. Le ratio de revenu urbain-rural est passé de 3,21 au début de la période à 3,33, le taux le plus élevé. dans l'histoire (2009), puis a diminué régulièrement jusqu'en 2017. 2,71 (voir la figure 2). Dans le même temps, des progrès importants ont été accomplis en matière de réduction de la pauvreté rurale et de développement. À la fin de 2017, le nombre de ruraux pauvres dans le pays était passé de 98,99 millions à la fin de 2012 à 30,46 millions, soit une diminution cumulée de 68,53 millions ; l'incidence de la pauvreté avait diminué de 98,99 millions fin 2012 De 10,2 % à 3,1 %, soit une baisse cumulée de 7,1 points de pourcentage ; de 2013 à 2017, la croissance réelle annuelle moyenne du revenu disponible par habitant des ruraux dans les zones pauvres était de 10,4 %, soit 2,5 points de pourcentage de plus que la moyenne rurale nationale (1) 7.

En termes de taux de croissance, bien que le taux de croissance réel annuel moyen du revenu des agriculteurs à ce stade soit inférieur aux 14,06 % du stade de croissance extraordinaire de 1978 à 1984, les fondements économiques et l'environnement politique des deux stades de croissance sont assez différents. . Cette période est l'étape avec la durée la plus longue, la fréquence de fluctuation la plus faible et la plage de fluctuation la plus faible du revenu des agriculteurs. La fourchette du taux de croissance réel du revenu des agriculteurs à ce stade est de 5,18 % et l'écart type est de 1,58, ce qui est nettement inférieur au stade de croissance extraordinaire précédent, et également nettement inférieur à la fourchette et à l'écart type de la croissance réelle. taux de revenu des citadins au même stade (voir tableau 1) 1) . Si la dernière augmentation extraordinaire du revenu des agriculteurs est attribuée à l'énorme pouvoir libéré par le système de gestion rurale, alors cette augmentation après 2004 devrait être attribuée à l'avancement complet et approfondi des réformes, à la grande attention du gouvernement et aux incitations politiques étendues .et pleine infusion d'éléments.

En outre, à partir de la figure 1, on peut clairement constater que bien que le revenu des agriculteurs à ce stade ait atteint une "14e augmentation consécutive" unique dans l'histoire, le taux de croissance du revenu des agriculteurs a des caractéristiques évidentes d'abord fluctuant et en hausse, puis continue de baisser d'année en année, passant de 6,86 % en 2004 à 11,38 % en 2011 (la valeur la plus élevée en 20 ans), puis a diminué d'année en année pour atteindre 6,20 % en 2016 (seulement 0,6 point de pourcentage de plus que la croissance taux de revenu des résidents urbains cette année-là), cependant, en 2017, il y a eu une certaine reprise par rapport à l'année précédente. De plus, il n'est pas difficile de constater que, d'une part, le taux de croissance du revenu des agriculteurs en 2016 était nettement inférieur au niveau au début de cette étape et à la valeur moyenne de cette étape, et d'autre part , c'était la première fois depuis 2010 que le taux de croissance du revenu des agriculteurs était inférieur au taux de croissance réel du PIB. Heureusement, il y a eu un net renversement en 2017 par rapport à l'année précédente. En fait, l'évolution du revenu des agriculteurs au cours des dernières années reflète objectivement le fait que la base actuelle de l'augmentation du revenu des agriculteurs est encore instable, que le taux de croissance du revenu des agriculteurs est insoutenable par rapport aux résidents urbains et que le taux de croissance du revenu des agriculteurs peut se poursuivre fluctuer sensiblement. La cause profonde de ce phénomène est que le taux de croissance économique de la Chine a considérablement chuté et que la capacité d'absorber l'emploi de la main-d'uvre rurale excédentaire par l'industrialisation et l'urbanisation diminue légèrement. Il est étroitement lié à la lenteur des progrès de la modernisation agricole, aux changements dans l'agriculture méthodes de gestion, conditions de base faibles pour l'innovation et l'esprit d'entreprise des agriculteurs, et mécanismes à long terme pour la croissance des revenus des agriculteurs dans le cadre de la nouvelle normalité économique.

4. Évaluation et réflexion sur la croissance des revenus des agriculteurs de mon pays depuis la réforme et l'ouverture

Au cours des 40 dernières années de réforme, les ressources économiques et l'excédent économique de l'agriculture, des zones rurales et des agriculteurs chinois ont continuellement encouragé l'économie chinoise à créer le "miracle chinois" avec son "modèle chinois" unique. Dans le même temps, les revenus des agriculteurs eux-mêmes ont également atteint une croissance sans précédent. Cependant, le taux de croissance de chaque année est très différent, surtout vers les années 1990, la fréquence de fluctuation du taux de croissance est assez différente ; pendant la période, d'une part, le taux de croissance réel du revenu des agriculteurs à chaque étape a environ a connu une croissance extraordinaire croissance lente Croissance stagnante croissance rebondie croissance continue de baisser reprise de la croissance quatorze augmentations consécutives ; d'autre part, le taux de croissance réel moyen annuel du revenu des résidents urbains et ruraux était presque le même, cependant, par rapport au revenu disponible des résidents urbains, le revenu des agriculteurs était encore à long terme Il est maintenu à un niveau relativement bas, et parce que le niveau de revenu global des agriculteurs est toujours dû au faible point de départ et à la faible stabilité de la croissance, etc. , cela conduit directement au fait que le grand écart de revenu entre les résidents urbains et ruraux dans mon pays ne peut pas être efficacement atténué. Le rapport des revenus des résidents urbains et ruraux est encore loin du niveau moyen mondial de 1,5: 1, ce qui conduit directement à le fait que l'important écart de revenu entre les résidents urbains et ruraux dans mon pays ne peut pas être efficacement atténué.

(1) Analyse et évaluation des facteurs moteurs de la croissance des revenus des agriculteurs

Plus précisément, après la réforme et l'ouverture, le niveau de revenu des agriculteurs a augmenté de manière significative, principalement en raison des quatre aspects suivants :

Premièrement, le système de gestion contractuelle des ménages ruraux a ajusté les relations de production qui ne répondaient pas aux exigences du développement de la productivité au début de la réforme et de l'ouverture, a brisé les chaînes qui restreignaient le développement de la productivité et a favorisé la croissance extraordinaire des revenus des agriculteurs. Le système de responsabilité contractuelle des ménages, qui a débuté en 1978 et a été rapidement mis en uvre dans les zones rurales, a donné aux agriculteurs une autonomie de production et de gestion clairement définie. Sous l'arrangement de ce système de droits de propriété, l'enthousiasme pour la production agricole de la grande majorité des agriculteurs a été fortement stimulé, ce qui a entraîné une augmentation substantielle de l'efficacité du travail agricole et une libération sans précédent de la productivité rurale. Parmi eux, de 1978 à 1984, la contribution de la réforme du système de responsabilité contractuelle des ménages à la croissance de la production agricole a représenté environ 46,89 %. Cette réforme fondamentale a libéré et développé les forces productives rurales et a entraîné des changements historiques dans le développement économique et social rural.

Deuxièmement, le développement des entreprises des communes et des villages et le transfert de la main-d'uvre rurale augmentent les revenus des agriculteurs tout en augmentant les sources de revenus des agriculteurs, assurant ainsi la tendance générale à la croissance des revenus des agriculteurs. L'essor et le développement rapide des entreprises des cantons et des villages ont fourni un excellent moyen de résoudre le surplus de main-d'uvre agricole. Couplé à la réforme du système d'économie de marché socialiste depuis 1992 et à l'accélération de l'urbanisation du milieu à la fin des années 1990, il a encore accéléré la promotion de la main-d'uvre rurale excédentaire. Un grand nombre de main-d'uvre a afflué vers les secteurs urbains et non agricoles, réalisant avec succès le transfert d'emplois. Cela garantit non seulement la croissance stable du revenu agricole familial des agriculteurs, mais élargit également la possibilité pour les agriculteurs d'augmenter leurs revenus et garantit la croissance rapide des revenus non agricoles des agriculteurs (y compris la croissance des revenus salariaux et des exploitations familiales non agricoles). -croissance des revenus agricoles) Les revenus ont progressivement commencé à devenir une source de revenus de plus en plus importante pour les agriculteurs. Selon les données du Bureau National des Statistiques, la population occupée rurale a diminué de 128,64 millions à fin 2016 par rapport à 1997 (1) 8, avec une baisse annuelle moyenne de 1,50 % ; la population occupée urbaine a augmenté année après année, une augmentation de 206,47 millions à fin 2016 par rapport à 1997, avec un taux de croissance annuel moyen de 3,73% ; surtout depuis 2006, l'emploi rural de la population s'est accéléré vers les zones urbaines. En 2016, une diminution cumulée de 91,73 millions de personnes, une diminution de 20,23%, tandis que la population active urbaine a augmenté de 117,89 millions de personnes, soit une augmentation de 39,82%. Dans le même temps, le revenu salarial des agriculteurs et sa proportion sont passés de 514,55 yuans et 24,62 % en 1997 à 5022 yuans et 40,62 % en 2016, respectivement.

Troisièmement, les paiements de transfert dirigés par le gouvernement, la politique des prix d'achat des produits agricoles et la politique de répartition des revenus ont pleinement garanti la croissance des revenus des agriculteurs. La politique de prix d'achat des produits agricoles et la politique de répartition des revenus du gouvernement ont joué un rôle important en garantissant l'augmentation des revenus des agriculteurs à différentes périodes ; couplées aux subventions agricoles à long terme et à la réforme des taxes et redevances rurales qui a commencé en 2001, la taxe agricole a été complètement abolie en 2006. La politique (2) 9, ainsi que la couverture et les prestations de diverses sécurités sociales (telles que les nouvelles coopératives de soins médicaux ruraux, la sécurité sociale minimale rurale, la pension sociale rurale, etc.) ont été progressivement améliorées, ce qui a davantage mobilisé la production et la gestion des agriculteurs tout en allégeant la charge des agriculteurs. L'enthousiasme de l'agriculture a consolidé la position de base de l'agriculture, et en même temps a totalement libéré la main-d'uvre rurale, ce qui a encore favorisé la croissance des revenus des agriculteurs. Afin de mieux résoudre les "Trois problèmes ruraux", de combler les lacunes du développement économique national et d'atteindre le grand objectif de l'intégration urbaine-rurale et d'une société aisée globale, depuis 2004, le Comité central du Parti communiste de La Chine a successivement publié 15 directives pour guider les travaux des "Trois zones rurales". Le "Document n° 1" de la Chine a pris des dispositions et des dispositions complètes et systématiques pour approfondir la réforme rurale, ajuster la structure agricole, développer l'emploi des agriculteurs, accélérer la recherche scientifique et agricole en agriculture. le progrès technologique, l'augmentation des investissements agricoles, le renforcement du soutien et de la protection de l'agriculture et la promotion d'une augmentation continue et rapide des revenus des agriculteurs. , et a progressivement formé un cadre politique systématique pour renforcer l'agriculture, soutenir l'agriculture, bénéficier à l'agriculture et enrichir l'agriculture, qui a eu un profond impact et l'impact à long terme sur le développement de la cause des "trois zones rurales" de la Chine.

Quatrièmement, l'approfondissement de la réforme des systèmes et mécanismes ruraux dans le but de construire une société modérément prospère de manière globale garantit la durabilité de la croissance des revenus des résidents ruraux. Dans le but de construire une société modérément prospère de manière globale, d'approfondir la réforme du système et du mécanisme rural, de se concentrer sur la clé pour combler les lacunes, de promouvoir de manière globale la réforme rurale globale et diverses réformes dans d'autres domaines, de se concentrer sur la nature globale, systématique et synergique de la réforme rurale, et assurer l'augmentation des revenus ruraux. En outre, après la réforme et l'ouverture, la politique de réduction de la pauvreté rurale du gouvernement chinois a amélioré les opportunités et la capacité des agriculteurs des zones pauvres à partager la croissance économique du point de vue de la capacité de production, de la participation au marché et de la réduction de la vulnérabilité, et Dans une certaine mesure, le revenu des agriculteurs des zones rurales pauvres a augmenté et l'écart de revenu au sein des zones rurales a été réduit.

(2) Analyse et réflexion sur la motivation de la formation de l'écart de revenu entre les résidents urbains et ruraux

Depuis la réforme et l'ouverture, les principales raisons de l'écart de revenu encore important entre les résidents urbains et ruraux sont les aspects suivants :

Premièrement, la base agricole pour augmenter les revenus des agriculteurs n'est pas stable, et il y a beaucoup de difficultés à faire avancer le processus de modernisation agricole. L'agriculture reste une source importante d'activités de production de base et de revenus pour la plupart des agriculteurs, et joue un rôle indispensable et fondamental. Parce que l'agriculture est à la fois un revenu et un emploi, la part du revenu agricole a diminué, mais elle reste très importante. Cependant, la proportion excessive de modes de gestion traditionnels caractérisés par la fragmentation des terres rurales et la petite et micro-échelle d'exploitation non seulement augmente le coût de transaction des agriculteurs, mais rend également difficile pour un seul agriculteur de supporter les risques naturels auxquels sont confrontés les agriculteurs. production et les ventes de produits agricoles Risques de marché, limitant ainsi considérablement les avantages d'échelle de la production et de l'exploitation agricoles et le développement spécialisé et intensif de l'agriculture. En outre, la fragmentation et la fragmentation de la chaîne d'approvisionnement agricole ont entraîné l'érosion de la compétitivité agricole de mon pays et la baisse des bénéfices des produits agricoles. Cependant, les contraintes de l'état des ressources et l'influence de la qualité propre des agriculteurs font qu'il est difficile pour l'agriculture traditionnelle avec une faible capacité anti-risque et une faible rentabilité de répondre aux exigences du développement agricole moderne, ce qui se traduit par une faible efficacité d'utilisation des ressources agricoles, de graves problèmes agricoles non durables. déficit des capacités de production et, à terme, fortes contraintes croissance durable des revenus des agriculteurs.

Deuxièmement, la façon dont les agriculteurs augmentent leurs revenus non agricoles n'est pas uniforme et la structure des revenus est déséquilibrée. Avec le développement de l'économie de marché, le rôle des revenus non agricoles dans l'augmentation des revenus des agriculteurs est devenu de plus en plus important.Cependant, pour des raisons institutionnelles et la limitation de l'employabilité des agriculteurs, il existe de nombreuses difficultés et problèmes dans le transfert. et l'emploi de la main-d'uvre rurale excédentaire, en particulier l'enregistrement actuel des ménages.Le système de gestion crée en outre une énorme différence dans le statut social et le traitement matériel des résidents urbains et ruraux, ce qui entrave sérieusement la libre circulation de la main-d'uvre et des ressources entre les zones urbaines et rurales. La baisse relative de la demande d'emploi retardera le processus d'urbanisation, et les résidents ruraux ne pourront pas se déplacer efficacement vers les villes, ce qui limite considérablement la croissance des revenus non agricoles des agriculteurs. Bien que les sources de revenus des agriculteurs se soient progressivement diversifiées depuis les années 1990, les problèmes de droits de propriété flous, de circulation foncière irrégulière et de système foncier déraisonnable dans les zones rurales n'ont pas été complètement résolus, ce qui a entraîné la perte de terres, de propriétés et de maisons pour les agriculteurs. Ces biens immobiliers ne peuvent pas être propriétaires, sans parler de l'accumulation de capital initiale insuffisante des résidents ruraux, et le niveau de services financiers dont ils peuvent bénéficier et la disponibilité des services financiers sont extrêmement faibles, ce qui limite sérieusement la croissance des revenus de la propriété des résidents ruraux. L'"effet Matthieu" a encore creusé l'écart de revenu urbain-rural.

Le troisième est la hausse rapide des prix des moyens de production agricoles et la politique déraisonnable des prix des produits industriels et agricoles. En raison de la double pression du "plancher" des coûts et du "plafond" des prix, les revenus des agriculteurs provenant de l'agriculture et de la culture des céréales sont limités, et le problème du faible avantage comparatif reste important. En période de croissance rapide des revenus des agriculteurs, elle s'accompagne souvent de l'augmentation des prix des produits agricoles, mais l'augmentation des prix des moyens de production agricoles affaiblit directement l'effet de la hausse du prix d'achat des produits agricoles et les politiques du gouvernement visant à renforcer, bénéficier et aider les agriculteurs à accroître leurs revenus. L'augmentation réelle des revenus des agriculteurs a été affaiblie. De plus, les prix élevés des produits agricoles sont généralement maintenus par les finances de l'État.Une fois ce soutien effondré, la garantie de la quantité de produits agricoles sera perdue, ce qui affaiblit directement les politiques du gouvernement visant à renforcer l'agriculture, à favoriser l'agriculture et à soutenir l'agriculture. effet produit. L'« écart en ciseaux » des prix des produits industriels et agricoles est réapparu avec l'approfondissement de la réforme de l'économie de marché, ce qui a entraîné dans les zones rurales un déficit à long terme des échanges urbains-ruraux.

Quatrièmement, la mise en uvre de la stratégie de développement axée sur la ville et la distorsion à long terme de la stratégie de développement agricole. Des politiques axées sur la ville, telles que la segmentation du marché du travail urbain-rural, des systèmes de protection sociale et de sécurité discriminatoires, un statut politique inégal et un grave manque de droit des agriculteurs à la participation politique, ont entraîné la mise en uvre de certains systèmes qui violent les droits et les intérêts des agriculteurs. et les politiques sociales, les politiques de financement de l'éducation en faveur des villes et les stratégies gouvernementales visant à encourager le développement des secteurs à forte intensité de capital ont entraîné une baisse relative de la demande d'emploi dans le secteur urbain, ralentissant ainsi le processus d'urbanisation, et les résidents ruraux ne peuvent pas efficacement Avec le transfert des villes, l'écart de revenu entre les zones urbaines et rurales s'est creusé. D'autre part, parce que les réformes précédentes du système foncier, du système de soutien financier à l'agriculture, du système d'organisation de la gestion agricole et du système d'ajustement des ressources en main-d'uvre rurale n'ont pas atteint les points clés ou ont progressé lentement, la stratégie de développement agricole de la Chine a été La croissance des revenus finira par creuser davantage l'écart de revenu entre les résidents urbains et ruraux.

V. Perspectives d'avenir de la croissance des revenus des agriculteurs : accélérer la stratégie de croissance non conventionnelle des revenus des agriculteurs

L'analyse ci-dessus montre pleinement que depuis la réforme et l'ouverture de mon pays, les revenus des agriculteurs ont connu une croissance fulgurante. Parallèlement, l'écart de revenu entre les résidents urbains et ruraux est depuis longtemps supérieur à la moyenne mondiale. Par conséquent, pour construire une société modérément prospère de manière globale, développer la demande intérieure, surmonter le "piège du revenu intermédiaire" et réaliser la revitalisation rurale, il est indissociable de la croissance à long terme, durable et transcendantale des revenus des agriculteurs, c'est-à-dire que le revenu des agriculteurs doit atteindre une période de croissance extraordinaire.

(1) La puissante force motrice libérée par la réforme et l'ouverture a fait de la Chine un pays à faible revenu en un pays à revenu intermédiaire supérieur. Le niveau et la structure des revenus des agriculteurs à partir d'un point de départ très bas se sont également considérablement améliorés, mais "déséquilibré, non coordonné et non durable" La maladie chronique n'a pas encore été résolue.

À l'heure actuelle, le fossé entre les zones urbaines et rurales, les régions, les riches et les pauvres en Chine s'est manifesté dans de nombreuses directions. L'expérience pratique montre que dans le cadre des stratégies établies de développement de l'urbanisation et de l'industrialisation, avec le schéma de croissance actuel et la rapidité des revenus des agriculteurs, l'objectif d'intégration économique et sociale urbaine et rurale et de prospérité commune pour tous est encore loin. Prendre le chemin de la prospérité commune est l'expression concentrée de l'objectif fondamental du parti de "servir le peuple" et la caractéristique essentielle du socialisme à la chinoise. La promotion de la croissance non conventionnelle des revenus des agriculteurs est une mesure clé pour « réduire l'écart et s'enrichir », et elle revêt une importance stratégique importante pour promouvoir le développement équilibré de l'économie et de la société chinoises.

(2) Dans le cadre de la « nouvelle normalité », la Chine doit éviter le « piège du revenu intermédiaire », couper le nud qui empoisonne le développement économique durable, promouvoir la transformation du mode de développement économique et réaliser le développement intégré des zones urbaines et rurales. Stratégies pour la croissance extraordinaire des revenus des agriculteurs.

Les leçons de nombreux pays en développement qui se situent depuis longtemps dans la phase de revenu intermédiaire montrent que le maintien d'une croissance soutenue et la création d'une dynamique de développement suffisante pour briser l'état d'équilibre établi dépendent de décisions stratégiques qui franchissent les obstacles institutionnels existants. Dans la nouvelle ère, l'extraordinaire croissance des revenus des agriculteurs chinois basée sur ce niveau élevé devrait avoir un contenu nouveau : premièrement, assurer la croissance rapide des revenus des agriculteurs alors que l'économie nationale croît régulièrement ; deuxièmement, la répartition du revenu national est inclinée vers les agriculteurs, afin de réaliser l'augmentation du revenu des agriculteurs. Troisièmement, le taux de croissance du revenu des agriculteurs reste stable, dont l'essentiel est de réduire l'écart de revenu urbain-rural et de construire une société aisée dans un aller de pair qui profite aux agriculteurs ; quatrièmement, la croissance des revenus des agriculteurs doit garantir que leur durabilité est propice à la rupture du "piège du revenu intermédiaire", favorisant ainsi efficacement la stratégie de croissance de la consommation et d'expansion de la demande intérieure ; Développement économique équilibré.

(3) La croissance extraordinaire du revenu des agriculteurs dépend de l'agglomération scientifique et de l'allocation optimale des facteurs de production, et est également une exigence réaliste pour changer le mode de développement économique.

Depuis la fondation de la République populaire de Chine, la "différence en ciseaux" des prix des produits industriels et agricoles a conduit à l'exportation continue des ressources économiques agricoles et rurales vers les entités économiques industrielles urbaines, ce qui est sans aucun doute la captation du surplus économique rural . Après la réforme et l'ouverture, les réformes urbaines et industrielles ont toujours contraint le gouvernement à essayer d'injecter les facteurs de production nécessaires à la réforme dans les entreprises publiques en sacrifiant les intérêts économiques des agriculteurs, de l'agriculture et des zones rurales. la croissance des revenus des agriculteurs n'a pas été efficacement atténuée. Après plus d'un demi-siècle d'industrialisation et d'urbanisation, les industries non agricoles chinoises se sont développées rapidement. Cependant, plus de 30% de la population dépend encore de l'agriculture, qui représente moins de 10% du PIB. On constate que les éléments de ressources agricoles sont manifestement insuffisants et que la croissance des revenus des agriculteurs est soumise à de fortes contraintes de ressources. Et l'accumulation à long terme de ce type d'inhibition des facteurs de ressources est à l'origine du retard actuel de la croissance des revenus des agriculteurs chinois. En outre, que ce soit l'industrie soutenant l'agriculture ou les villes soutenant les zones rurales, l'allocation efficace des éléments de ressources est la clé de la mise en uvre de politiques spécifiques. L'allocation scientifique des facteurs de production n'est pas seulement la prémisse de la croissance extraordinaire des revenus des agriculteurs, mais aussi le lien clé pour réaliser l'optimisation de la structure économique et accélérer la transformation du mode de développement économique.

(4) La croissance extraordinaire des revenus des agriculteurs est un projet systématique, qui est lié à la situation globale du développement économique national.

L'objectif stratégique global doit passer d'une focalisation partielle sur la croissance absolue des revenus de certains groupes à la stabilité à long terme du pays, réaliser la modernisation de l'agriculture et assurer la sécurité alimentaire en transformant les méthodes de développement agricole, rompre complètement le schéma des intérêts urbains et ruraux pour assurer l'amélioration continue de la justice sociale et s'engager véritablement dans l'intégration des zones urbaines et rurales.La voie de construction du développement économique et social sera transformée, afin que les agriculteurs puissent partager les fruits de la réforme et du développement. La tâche principale de la stratégie doit être claire, maintenir le taux de croissance réel annuel moyen du revenu des agriculteurs au cours des 30 prochaines années ne doit pas être inférieur à 7 %, tout en veillant à ce qu'il soit supérieur au taux de croissance global de l'économie nationale au cours de la même période, et dépasse le taux de croissance du revenu des résidents urbains de 2 points de pourcentage et de 2 % au cours de la même période. Ce qui précède atteindra le niveau moyen du rapport de revenu urbain-rural dans les pays développés d'ici le milieu de ce siècle et assurer, à terme, la croissance équilibrée des revenus des citadins et des ruraux et le développement intégré des zones urbaines et rurales. La mise en uvre spécifique de la stratégie exige que le gouvernement corrige la dislocation stratégique existante et l'injustice politique, transforme véritablement ses propres fonctions et crée un environnement de développement inclusif pour que les agriculteurs augmentent leurs revenus. Par conséquent, la croissance extraordinaire des revenus des agriculteurs devrait non seulement cultiver la compétitivité de base de l'agriculture et s'efforcer de créer des opportunités d'emploi et d'entrepreneuriat dans l'agriculture et les industries non agricoles selon les priorités stratégiques, mais aussi renforcer l'ajustement rationnel de la répartition du revenu national à travers le gouvernement, et en même temps faire un bon travail dans la protection des droits de propriété des agriculteurs.Afin de fournir des compléments stratégiques bénéfiques, et enfin former une force conjointe pour promouvoir la réalisation des objectifs stratégiques.

(5) En raison des différences dans les dotations en ressources, l'efficacité économique et les fondements institutionnels, ainsi que des incohérences dans les stades de développement de l'agriculture, des zones rurales et des agriculteurs dans différentes régions, il est objectivement nécessaire que la stratégie de croissance extraordinaire de l'agriculture le revenu ne peut pas adopter un modèle « taille unique ». , doit être adapté aux conditions et circonstances locales.

Dans les principales zones de production céréalière, l'agriculture moderne à grande échelle et les zones de développement agricole urbain avec une bonne base pour le développement agricole, il est nécessaire de construire une stratégie pour la croissance extraordinaire des revenus des agriculteurs basée sur la promotion continue de la modernisation agricole comme le La chaîne de l'industrie agricole, la chaîne de valeur et la chaîne d'approvisionnement se concentrent sur la construction d'un système de production agricole, d'un système de gestion, d'un système industriel et d'un système de soutien modernes, insistant sur le fait que l'industrie alimente l'agriculture et les villes soutiennent les zones rurales, de manière à assurer une croissance non conventionnelle des revenus des agriculteurs et, en fin de compte, à réaliser l'intégration du développement urbain et rural. Dans les régions montagneuses, vallonnées et contiguës de l'ouest dépourvues de ressources agricoles faibles, de bases de développement médiocres et d'exploitations communes à petite échelle, une stratégie de croissance extraordinaire des revenus des agriculteurs devrait être élaborée sur la base de la transmission à deux roues de l'agriculture bénéfique caractéristique. et la nouvelle urbanisation Guider activement les agriculteurs pour choisir les variétés et les méthodes de développement agricole avec des caractéristiques et des avantages en fonction de leurs propres dotations en facteurs, ainsi que des régions et des industries pour les travailleurs migrants, promouvoir vigoureusement la profondeur de l'intégration de l'industrie rurale et l'amélioration simultanée de l'employabilité de l'industrie non agricole, et prendre la culture des agriculteurs professionnels et des travailleurs migrants comme une percée. , briser la double structure urbaine-rurale et réaliser l'extraordinaire croissance des revenus des agriculteurs.

Auteur : Wen Tao, He Qian, Wang Yuyu

la source: Journal de l'Université du Sud-Ouest (édition des sciences sociales) 2018 Numéro 04