Le rover "Mars 2020" recherchera des créatures anciennes et se préparera pour des missions habitées
[Site Spacedaily 28 décembre 2019]
Le rover "Mars 2020" recherchera non seulement des créatures anciennes, mais ouvrira également la voie à de futures missions habitées. C'est ce que des scientifiques de la NASA ont déclaré au journaliste de l'Agence France-Presse le 28 décembre pour montrer le rover. Le rover "Mars 2020" a été construit dans une grande salle stérile du Jet Propulsion Laboratory. Le même jour, l'équipement de conduite du rover a été testé avec succès pour la première fois ici.
Ce rover, montré aux journalistes invités, devrait quitter la Terre depuis Cap Canaveral, en Floride, en juillet 2020. Sept mois plus tard, en février 2021, il sera le cinquième rover américain à atterrir sur Mars. .
Matt Wallace, directeur adjoint de la mission, a déclaré aux journalistes de l'AFP: "Le rover est conçu pour rechercher des signes de vie, il portera donc de nombreuses choses différentes qui peuvent nous aider à comprendre la géologie et Instruments dans l'environnement chimique. "Parmi les instruments portés par le rover, il y a 23 caméras, 2" oreilles "qui peuvent faire entendre le rover au vent martien, et quelques lasers utilisés pour l'analyse chimique.
Le rover est de la taille d'une voiture et, comme son prédécesseur "Curious", il a également six roues pour traverser un terrain rocheux. La vitesse n'est pas l'avantage de ce rover, il lui suffit de parcourir environ 183 m par jour sur Mars.
"Mars 2020" est alimenté par un réacteur nucléaire miniature avec un bras articulé de 7 pieds de long (environ 2,13 m) et un foret qui peut ouvrir des échantillons de roche là où les scientifiques pensent qu'il peut convenir à la vie.
Recherchez les restes d'anciennes créatures
Wallace a déclaré: "Ce que nous recherchons, c'est la paléontologie - nous parlons de Mars il y a des milliards d'années, lorsque cette étoile ressemblait plus à la Terre." Il a expliqué qu'à cette époque, la planète rouge était chaude L'eau de surface, une atmosphère plus épaisse et la force magnétique qui l'entoure, elle était donc plus bénéfique pour le type de vie monocellulaire simple qui a évolué sur la terre à l'époque.
Afin de profiter au maximum de cette opportunité pour dénicher des reliques paléobiologiques, "Mars 2020" atterrira dans un delta à long terme appelé Jezero, l'endroit choisi après des années de débat scientifique est maintenant Il y a environ 3,5 à 3,9 milliards d'années, une fosse, autrefois un lac de 457,2 m de profondeur, était connectée à un réseau fluvial qui coule. Le diamètre estimé de cette fosse est inférieur à 48,3 km, et les experts espèrent qu'elle pourrait avoir conservé d'anciennes molécules organiques.
Une fois l'échantillon prélevé, le mobile scellera l'échantillon dans le tube à essai. Ces éprouvettes seront posées à plat sur la surface de Mars jusqu'à ce que de futures missions puissent les ramener sur Terre.
Wallace a déclaré: "Nous espérons pouvoir progresser rapidement, et nous espérons également que la prochaine mission lancée en 2026 pourra atteindre Mars et ramasser ces échantillons. Après avoir placé les échantillons dans la fusée, la fusée pousse les échantillons sur l'orbite de Mars, puis les échantillons sont Les orbiteurs se rencontreront et les orbiteurs ramèneront les échantillons sur Terre. "Il a également ajouté que les échantillons devraient atteindre la Terre dans une dizaine d'années.
À propos des missions habitées
La mission «Mars 2020» apporte également de l'espoir à un objectif plus ambitieux: la mission habitée sur Mars.
Wallace a déclaré: "Sérieusement, je pense que c'est la première mission précurseur des humains sur Mars. L'équipement en orbite qu'il transporte peut nous permettre de produire de l'oxygène. Un jour, l'oxygène produit permettra non seulement aux humains de respirer , Et peut également être utilisé comme carburant de retour pour les personnes quittant Mars. "
Le rover "Mars 2020" de la NASA restera actif pendant au moins une année martienne, soit environ deux ans sur Terre. Cependant, le rover Mars dépasse souvent leur espérance de vie - le rover prédécesseur "Curious" a atterri sur Mars en 2012, et il marche toujours lentement dans le Mars Peak District.
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Traduction Wu Yanping
Que fera la NASA au cours de la nouvelle année?
[Site Internet de la NASA le 3 janvier 2020]
En 2020, la NASA prendra de grandes mesures pour renvoyer des astronautes sur la Lune, continuer à explorer Mars et développer des technologies qui rendront les avions supersoniques plus silencieux.
Plan Artemis: renvoyer des astronautes sur la lune
Selon le plan Artemis, la NASA enverra de nouveaux instruments scientifiques et une vérification du développement technique pour étudier la lune, accélérer le plan d'envoi d'astronautes sur la lune d'ici 2024 et établir une exploration lunaire durable d'ici 2028. L'un des jalons majeurs du plan d'Artemis pour 2020 est le test de «fonctionnement vert» des quatre moteurs au stade central du système de lancement spatial. La NASA continuera également à travailler avec des partenaires commerciaux pour envoyer la lune sur la lune. Ils aideront les astronautes à se préparer pour la lune, y compris un rover qui cartographie l'eau et la glace sur la lune.
La NASA, Boeing et SpaceX se préparent à lancer des astronautes depuis le continent américain
Après le test en vol sans pilote en 2019, Boeing et SpaceX s'apprêtent à lancer des astronautes des États-Unis pour la première fois depuis la dernière mission de navette spatiale en 2011. Il est normal que des vaisseaux spatiaux commerciaux et des fusées livrent du fret à la Station spatiale internationale. Cette année, il y aura Pour plus de vols de ravitaillement, le vaisseau spatial habité passera par le test final.
Station spatiale internationale
La Station spatiale internationale accueille des astronautes depuis 20 ans. Ce n'est pas seulement une destination pour les vaisseaux spatiaux de nouvelle génération, mais aussi une plate-forme pour les astronautes pour vérifier et explorer la technologie, les systèmes avancés de survie et les interfaces homme-machine. Il s'agit d'une plate-forme de test de microgravité unique et d'un laboratoire national, où les gens se consacrent à profiter de la vie sur Terre et à se préparer pour des destinations profondes dans le système solaire.
Mars et au-delà
La dernière mission de la NASA sur Mars - une mission qui recevra un nouveau nom avant son lancement - est un rover sur Mars, mais elle nest pas seule. Pour faciliter son exploration, elle transporte le premier avion qui sera sur une autre planète. Hélicoptère volant.
Plus loin dans le système solaire, le "Explorateur de sécurité de l'identification des ressources d'interprétation spectrale d'origine (OSIRIS-REx)" sera attaché à l'astéroïde Bennu et collectera des échantillons de sa surface. OSIRIS-REx enverra des échantillons sur Terre en 2023.
Technologie supersonique silencieuse
Lorsque l'avion supersonique décélère en dessous de la vitesse du son, il produit un énorme rugissement.La NASA continue d'étudier l'avion supersonique pour le rendre plus silencieux et plus acceptable lorsqu'il vole à travers des zones densément peuplées. L'avion X-59 a passé une étape importante en 2019 et progresse vers plus de tests en vol.
URL de référence: https://www.nasa.gov/about/whats_next.html
Contribution de Wu Yanping
La NASA publie son premier rapport sur la thrombose et l'élimination des astronautes
[Rapporté par le site Web spacedaily le 6 janvier 2020]
Un article a été publié dans le New England Journal of Medicine le 6 janvier 2020. L'article décrivait le cas d'un astronaute résidant à la Station spatiale internationale qui souffrait d'une thrombose de la veine jugulaire interne en raison de la stagnation du flux sanguin. Un risque de vol spatial sans précédent a été découvert par des astronautes en mission à long terme. L'auteure principale de l'article est Serena Aunon-Chancellor, professeure agrégée de médecine clinique à la Louisiana State University Health New Orleans School of Medicine Baton Rouge.
Le Dr Aonon-Chancellor a déclaré: "Cette nouvelle découverte montre que l'état du corps humain dans l'espace dépasse nos attentes. Nous n'avons pas encore pleinement compris la médecine aérospatiale ou la physiologie aérospatiale." Membre de l'équipe des astronautes de la NASA, il est certifié en médecine interne et en médecine aérospatiale. "
Onze astronautes ont participé à cette étude vasculaire. L'étude vise à combler une lacune dans le domaine de la physiologie circulatoire, qui profite non seulement aux patients sur Terre, mais peut également être cruciale pour la santé des astronautes dans les futures missions d'exploration lunaire et martienne.
Cette étude a mesuré la structure et la fonction de la veine jugulaire interne lorsque le sang et le liquide tissulaire de la tête de l'astronaute ont continué à couler pendant un long vol spatial.
Au cours de la mission, les astronautes ont effectué des examens échographiques de la veine jugulaire interne à différents endroits dans un délai prédéterminé. Environ deux mois après le début de la mission, les résultats de l'échographie ont révélé qu'un astronaute avait suspecté une thrombose obstructive de la veine jugulaire interne gauche (caillot de sang). L'astronaute a effectué un examen échographique de suivi, et un guidage et un diagnostic en temps réel par deux radiologues indépendants sur terre ont confirmé cette suspicion.
Étant donné que la NASA n'a jamais rencontré cette situation dans l'espace auparavant, elle a organisé une discussion multidisciplinaire pour examiner attentivement les risques inconnus de caillots sanguins se déplaçant et bloquant les vaisseaux sanguins dans un environnement de microgravité.
La boîte à pharmacie de la station spatiale contient un total de 20 bouteilles d'énoxaparine (un anticoagulant semblable à l'héparine) d'une teneur de 300 mg par bouteille, mais il n'y a pas de médicament anti-anticoagulant. L'injection est également confrontée à des défis en raison de l'effet de la tension superficielle, il est très difficile d'extraire le liquide du flacon.
Les astronautes ont commencé à utiliser de l'énoxaparine pour le traitement. La dose initiale était plus élevée, qui a été réduite après 33 jours, jusqu'à ce que l'anticoagulant oral (apixaban) arrive par le vaisseau spatial d'approvisionnement, et l'agent inverse anticoagulant a également été livré à la station spatiale.
Bien que le thrombus ait progressivement diminué au jour 47 et puisse induire un flux sanguin à travers le segment cervical interne affecté, il n'y avait toujours pas de flux sanguin spontané après 90 jours de traitement anticoagulant. Les astronautes ont cessé de prendre le médicament quatre jours avant de retourner au sol.
Lors de l'atterrissage, l'échographie a montré que les caillots sanguins restants étaient à plat sur la paroi du vaisseau sanguin sans autre anticoagulation. Ce phénomène existe dans les 24 heures après l'atterrissage et disparaît après 10 jours. Six mois après leur retour au sol, les astronautes n'avaient toujours aucun symptôme.
Ni les astronautes ni la famille n'ont d'antécédents de thrombose, ni de maux de tête ou de rougeurs communs en apesanteur. Les changements dans le tissu sanguin et le flux sanguin, ainsi que le risque de lésions préthrombotiques trouvées dans l'étude, montrent la nécessité de recherches supplémentaires.
Onon-Chancellor a conclu: "La plus grande question est maintenant, comment allons-nous traiter ce problème dans la mission d'exploration sur Mars? Comment devrions-nous nous préparer pour un traitement médical? Des recherches supplémentaires doivent être effectuées pour clarifier davantage La formation de thrombus dans l'environnement et les contre-mesures possibles. "
La thrombose de la veine jugulaire interne est souvent associée à un cancer, à des cathéters veineux centraux ou à une stimulation ovarienne excessive. Ces dernières années, un nombre croissant d'usagers de drogues par voie intraveineuse souffrent de cette maladie et ils ont injecté des drogues directement dans la veine jugulaire interne. Cette condition peut avoir des complications potentiellement mortelles, y compris une septicémie systémique et une embolie pulmonaire.
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Traduction de Zhan Kang
Des médecins au sol aident à traiter la thrombose d'un astronaute de la station spatiale
[Rapporté par le site Web spacedaily le 6 janvier 2020]
Récemment, la NASA a contacté un spécialiste de la thrombose à l'école de médecine de l'Université de Caroline du Nord et Stephan Moll pour traiter le problème de thrombose de la veine cervicale de l'astronaute. Il est un passionné de longue date de la NASA et le seul médecin non membre de la NASA dans l'équipe de traitement.
Lorsqu'un astronaute avait un caillot de sang, l'astronaute était sur la Station spatiale internationale depuis deux mois. C'est la première fois que le problème de la thrombose des astronautes est découvert dans l'espace, il n'y a donc actuellement aucun traitement précis pour la thrombose sous microgravité.
Moore est membre du North Carolina Blood Research Center et est connu pour ses connaissances approfondies et son expérience clinique de la thrombose veineuse profonde. Moore a déclaré que lorsque la NASA l'a contacté, sa première réaction a été d'aller à la Station spatiale internationale pour examiner le patient lui-même. En conséquence, ils ont déclaré qu'il ne pouvait pas être autorisé à monter à bord de la Station spatiale internationale assez rapidement, de sorte qu'ils ne pouvaient être évalués et traités qu'à Chapel Hill.
Mohr pense que le traitement habituel de la thrombose consiste à utiliser un anticoagulant pendant au moins trois mois pour empêcher le thrombus de grossir et réduire les dommages que le thrombus peut transférer à différentes parties du corps (comme les poumons). Cependant, il y a un certain risque à prendre des anticoagulants, car s'ils sont endommagés, ils peuvent provoquer des saignements internes difficiles à arrêter. Dans les deux cas, des soins médicaux d'urgence sont nécessaires. Comme il n'y avait pas de salle d'urgence dans l'espace, ils ont dû choisir soigneusement leur plan de traitement.
À la fin, l'équipe de médecins de Moore et de la NASA a décidé d'utiliser l'énoxaparine, un anticoagulant existant sur la Station spatiale internationale, pour traiter la thrombose jusqu'à ce que la NASA envoie l'apixaban, le médicament oral désigné par Moore, à la Station spatiale internationale. Lorsque les astronautes ont continué à énoxaparine sous-cutanée pendant 43 jours, le nouveau médicament apixaban a été livré à la Station spatiale internationale pour une thérapie de remplacement.
Pendant tout le processus de traitement de plus de 90 jours, les astronautes ont subi une échographie du cou sous la direction d'une équipe de radiologie au sol pour surveiller les caillots sanguins. Pendant cette période, Moore peut également communiquer avec les astronautes par e-mail et par téléphone.
L'astronaute a été invité à arrêter le médicament quatre jours avant de retourner sur Terre, car l'équipe Moore considérait que le retour de l'astronaute dans l'atmosphère était très exigeant physiquement et potentiellement dangereux, et ils ne voulaient pas utiliser des anticoagulants pour aggraver la blessure. .
En raison du problème de thrombose de l'astronaute à la station spatiale, il n'y avait aucun symptôme et il n'a pas été découvert à temps. Au lieu de cela, il a trouvé le problème de thrombose en étudiant comment redistribuer le fluide corporel sous microgravité lors de l'échographie du cou de l'astronaute. Si elle n'est pas découverte à temps dans cette étude, on ne sait pas quelles en seront les conséquences. Par conséquent, Moore continuera de coopérer avec la NASA pour mener des recherches plus approfondies sur le sang et les thrombus dans l'espace.
"La thrombose est-elle plus courante dans l'espace? Comment réduire le risque de thrombose? La Station spatiale internationale devrait-elle avoir plus de drogues?", A déclaré Moore à l'avenir, les astronautes prévoyant d'aller sur la Lune et sur Mars pour des missions plus longues, donc ces problèmes doivent être résolus. .
La photo montre le Dr Moore
URL de référence:
Traduction de Zhan Kang
Faits saillants de la Semaine d'expérimentation scientifique de la Station spatiale internationale
[Site Internet de la NASA publié le 7 janvier 2020]
Au cours de la semaine du 30 décembre 2019, les astronautes de la Station spatiale internationale ont mené une série de recherches scientifiques, notamment des expériences de combustion dans des espaces clos et l'utilisation d'équipements de surveillance robotisés. Le 28 décembre, l'astronaute Christina Koch a établi le record le plus long d'une femme astronaute en un seul séjour spatial, qui a duré 288 jours, y compris la première fois avec le membre d'équipage Jessica Meir Toutes les activités extravéhiculaires féminines devraient actuellement reprendre sur le terrain le 6 février.
2019 est la 20e année de l'existence humaine sur la Station spatiale internationale. Elle fournit une plate-forme pour la recherche à long terme dans l'environnement de microgravité et pour apprendre à vivre et à travailler dans l'espace. L'expérience acquise dans le laboratoire orbital a soutenu le programme "Artemis" qui a amené les gens sur la Lune et sur Mars.
Voici les détails de certaines expériences de microgravité actuellement en cours:
Expérience de combustion fermée
L'expérience de combustion fermée étudie la propagation de la flamme dans un espace clos, en particulier l'interaction entre la flamme et le mur environnant. La propagation des flammes dans ces espaces, y compris les bâtiments et les véhicules, peut être plus dangereuse que dans les espaces ouverts. L'écoulement flottant entraîné par gravité complique le processus de combustion sur Terre, et la microgravité nous permet de mieux étudier la physique de la propagation des flammes. Cette recherche appuiera le développement de modèles pour prévenir ou éteindre les incendies spatiaux. Au cours de la semaine dernière, l'équipage a procédé à divers allumages d'échantillons.
Recherche de robots
Il existe actuellement quelques études concernant l'utilisation et les tests de la robotique. L'enquête de test SoundSee utilise des capteurs audio sur Astrobee pour surveiller l'environnement acoustique de la station spatiale. Astrobee est une plate-forme de robot mobile qui peut détecter les sons anormaux des parties internes de la machine, ce qui indique qu'une défaillance de l'équipement peut être imminente. Par conséquent, la plate-forme peut surveiller de manière autonome la santé de l'infrastructure du vaisseau spatial, comme les équipements de survie et les équipements sportifs. Le personnel a terminé le déballage et l'inspection du matériel SoundSee en une semaine.
Expérience d'ébullition en plusieurs étapes
L'équipe a mené une préparation au laboratoire de science des fluides (FSL) pour l'expérience d'ébullition en plusieurs étapes, qui est la recherche fondamentale de l'Agence spatiale européenne sur le transfert de chaleur dans différentes conditions d'ébullition. Les données peuvent fournir un modèle théorique et une vérification de code numérique pour la recherche en physique des fluides dans des conditions de microgravité. L'expérience d'ébullition sous microgravité peut être observée comme étant trop rapide et trop petite dans des conditions de gravité normales, ce qui entraîne un effet non mesuré. Comprendre la dynamique du transfert de chaleur bouillante dans l'espace est essentiel à la conception des futures applications de stockage, de propulsion et de refroidissement d'équipements cryogéniques.
Autres investigations menées par l'équipe:
"Radi-N2" est une étude menée par l'Agence spatiale canadienne et décrit l'environnement de rayonnement neutronique sur la station spatiale pour aider à déterminer les risques auxquels sont confrontés les astronautes et fournir un soutien pour l'élaboration de mesures de protection avancées pour les futurs vols spatiaux.
"RR-19" explore les avantages potentiels du ciblage des voies de signalisation de la myostatine (MSTN) et de l'activine pour prévenir la perte de muscle squelettique et osseux pendant le vol spatial.
L'étude "Space Moss" de la Japan Aerospace Research and Development Agency a déterminé l'effet de la microgravité sur la mousse. Les mousses sont de petites plantes sans racines qui poussent dans de très petites zones, ce qui est leur avantage potentiel dans les missions dans l'espace lointain.
"L'équipement de bioproduction" teste l'impression d'organes et de tissus humains dans des conditions de microgravité. Il s'agit de la première étape de la fabrication d'organes humains entiers dans l'espace à l'aide d'une technologie d'impression biologique 3D fine.
L'étude «Technologie d'extraction et de séquençage des biomolécules» utilise le séquençage de l'ADN pour identifier les organismes microbiens et améliorer la compréhension de la façon dont les humains, les plantes et les micro-organismes s'adaptent à la vie spatiale.
"Expérience sur la Station spatiale internationale" a créé quelques courtes vidéos de réalité virtuelle à partir de clips sur la vie des équipages, la recherche scientifique et les enquêtes de partenariat international sur la station spatiale.
La «mesure standard» constitue une méthode de mesure continue et optimisée permettant à l'équipage de décrire comment son corps s'adapte à la vie dans l'espace. Les chercheurs utilisent cet ensemble de méthodes pour créer un référentiel de données pour une surveillance avancée de l'efficacité des contre-mesures et pour mieux décrire les résultats de santé et de performance.
"NutrISS" est une enquête de l'Agence spatiale italienne, qui utilise un appareil qui mesure les changements dans l'équilibre énergétique à long terme pour évaluer la composition corporelle des astronautes pendant le vol spatial. L'application ESA EveryWear transmet les données à l'équipe de nutrition sur le terrain.
"Food Acceptability" étudie l'évolution de l'appétit de la station spatiale lors de missions de longue durée. La «fatigue du menu» due à la consommation répétée de nourriture limitée peut faire perdre du poids à l'équipage, d'autant plus que la mission augmente, elle peut affecter la santé des astronautes.
L'astronaute de la NASA, Christina Cook, est entrée dans l'histoire le 28 décembre 2019, battant le record du temps de vol unique le plus long d'une femme astronaute. À son retour sur Terre en février 2020, Cook passera plus de 300 jours dans l'espace, dépassant le record du commandant de la station spatiale, Peggy Whitson.
URL de référence: https://www.nasa.gov/mission_pages/station/research/news/SSSH_30dec19
Traduction de Zhan Kang
Le Groupe consultatif de la sécurité aérospatiale de la NASA publie son rapport annuel 2019
[Site Internet de la NASA publié le 8 janvier 2020]
Le NASA Aerospace Safety Advisory Group (ASAP) est un comité consultatif qui soumet des rapports à la NASA et au Congrès américain. Le groupe consultatif sur la sécurité publiera mardi son rapport annuel 2019, examinant les performances de l'agence en matière de sécurité au cours de l'année écoulée, et soulignant les réalisations, les problèmes et les préoccupations.
Le rapport met en évidence les activités de 2019, y compris une évaluation de la NASA. Il y a plusieurs aspects: la Station spatiale internationale, l'exploration lunaire et lointaine, le développement de systèmes de détection, la planification des équipages commerciaux, les opérations aériennes et aériennes, la culture de la sécurité et la protection des entreprises.
"Le groupe d'experts a noté qu'en 2019, la NASA a fait des progrès considérables dans les objectifs d'exploration humaine." Patricia Sanders, chef du groupe consultatif de sécurité, a déclaré: "Nous soutenons un grand nombre de projets achevés et Des tests en cours et la rigueur d'un travail continu pour résoudre les problèmes techniques. Bien que de nombreux défis restent à relever, les résultats obtenus jusqu'à présent sont encourageants; cependant, il reste encore beaucoup à faire à l'avenir. "
Le rapport a souligné qu'au cours de l'année écoulée, alors que les efforts de développement de systèmes de planification et de détection d'équipages commerciaux de la NASA approchaient des cibles de vol sans pilote et avec équipage, l'équipe se concentrera sur les tests de qualification, l'analyse et la vérification. Atteindre ces objectifs est une étape décisive vers la venue de la première femme astronaute et du prochain homme astronaute à la surface de la lune d'ici 2024. Cela fait partie du plan "Artemis" de la NASA.
Le rapport se fonde sur les réunions d'enquête et les réunions publiques trimestrielles du groupe d'experts en 2019; visites et réunions "éclairées"; observation directe des activités et des processus décisionnels de la NASA; discussions avec la direction, les employés et les entreprises partenaires de la NASA; et les membres du groupe d'experts eux-mêmes expérience.
En 1968, un groupe consultatif sur la sécurité aérospatiale a été créé. Il comprenait des experts en aérospatiale, d'anciens hauts fonctionnaires de grandes entreprises pertinentes et des responsables militaires pour fournir des conseils et des suggestions au directeur de la NASA sur les questions de sécurité aérospatiale. La création de l'équipe est due à la perte de trois astronautes en raison de l'incendie du vaisseau spatial "Apollo 1" en 1967.
URL de référence: https://www.nasa.gov/press-release/nasas-aerospace-safety-advisory-panel-releases-2019-annual-report
Traduction de Zhan Kang
Source Notre espace (ID: ourspace0424) Éditeur He Shuyu, Ma Yujie Courriel de soumission | ourspace0424@163.com
