L'auteur Kathryn Olivarius est professeure adjointe, Département d'histoire, Université de Stanford, Oxford University Ph.D., principaux domaines de recherche du sud des États-Unis, dans les Caraïbes, et l'histoire de la maladie de l'esclavage avant la guerre civile. Cet article est AHR en ligne (version électronique « American Review historique ») du premier article, l'autorisation de l'auteur, traduit par l'histoire de l'Université de Wuhan Xu Yan, la correction d'épreuves Du Hua. Dans cet article, le titre original « immunité, Cpital, et le pouvoir en Nouvelle-Orléans Antebellum », maintenant intitulé l'éditeur proposé.

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Comme le début d'un supplément spécial sur la procréation assistée numérique, nous avons publié Kathryn Olivarius essai de l'image de l'Université de Stanford, ce court elle en Avril 2019 article, « Antebellum Nouvelle-Orléans l'immunité, le capital et le pouvoir », et elle est à la procréation assistée interviews de compagnie. Olivarius croire, 19ème siècle Nouvelle-Orléans, marais envahi par la végétation, aux yeux de certaines personnes peuvent adapter à la fièvre jaune, après cette expérience propagation de la maladie par les moustiques peuvent survivre, ce qui est suffisant pour montrer que, allez-y pour gagner leur vie est un genre de comportements à risque prévu. Ces salaires en bonne santé, voir blanc cela comme un investissement rentable, ils sont donc admissibles à poursuivre les intérêts économiques de l'esclavage sous le capitalisme.

En hiver 1803, la Louisiane nouvelles choqué les Etats-Unis. Avec l'Alabama, la Louisiane, le Mississippi et le Texas State These contrôle futur par les Etats-Unis, le rêve ambitieux par les colons blancs ont commencé à utiliser le sucre et le coton, où ils ont acquis la richesse des îles, le style des Caraïbes. Nouvelle-Orléans est l'un des plus grands gains: comme un militaire importante et le port de commerce, qui agissent comme « commercial occidental » pour l'ensemble de la riche vallée de la rivière Mississippi.

Ceci est une vue aérienne de la Nouvelle-Orléans, à travers le fleuve Mississippi du sud au nord, jusqu'au lac Pontchartrain. La peinture montre un certain nombre de paysage urbain détaillé, situé sur Canal Street, y compris Place de la Vieille (Vieux Carré) de la cathédrale Saint-Louis, et une deuxième région autonome (deuxième municipalité) est en train d'émerger rapidement, ce domaine était à l'origine de l'immigration des États-Unis plutôt que Kerry Orr personnes occupent. Bateau à vapeur tout au long de l'année dans la réalisation de fournitures et de passagers à se faufiler dans le fleuve Mississippi et le long de la jetée, qui fournit le terrain idéal pour la croissance de la fin de l'été de la fièvre jaune. Écran situé bien en vue en face de l'hôpital naval de Mike Donald Weir, le gros commerçants, propriétaires d'esclaves et les hommes politiques, est aussi l'homme le plus riche de la Nouvelle-Orléans, John Mack nom Donald (John McDonogh). (John Bachmann, vue plongeante sur la Nouvelle-Orléans, lithographie, 1851. The Historic New Orleans Collection, https://www.hnoc.org/birds-eye-view-new-orleans.)

De la Louisiane à la guerre civile, au moins 500.000 Blancs déplacés à la Nouvelle-Orléans, la ville est devenue l'une des plus grande ville après la deuxième destination pour les immigrants de New York de la nation. En outre, des centaines de milliers d'esclaves noirs ont été expédiés de force à la Nouvelle Orléans, le commerce dans le plus grand marché d'esclaves du pays. Ils ont choisi le coton soleil subtropical chaud, coupe de la canne à sucre, les blancs au sud (Sud profond) des propriétaires de plantations, des financiers et des hommes d'affaires pour devenir les Etats-Unis avant que la plupart des gens riches groupe de la guerre civile.

En 1873, l'artiste français Edgar Di Jiasi (Edgar Degas) a passé plusieurs mois à la Nouvelle Orléans pour visiter son oncle, Michel Musson (Michel Musson). Ce dernier est un négociant en coton, où son bureau dans le centre de Caron rue Wright, (407 Carondelet Street) 407, une deuxième région autonome (la deuxième municipalité), qui est représenté sur la figure. Avant l'achèvement de la peinture, la société de bétaméthasone a fait faillite. scènes peinture en même temps montrer l'énergie capitaliste et le climat causé par l'atmosphère terne: Alors que certaines personnes dans la classification et la qualité du coton, d'autres en lisant le journal Picayune (Picayune, New Orleans journal local) somnolent dans le climat subtropical chaud. Ceci est Di Jiasi vendu aux premières peintures du musée. (Edgar Degas, un bureau de coton à la Nouvelle-Orléans, 1873. Musée des Beaux-Arts de Pau, France.)

Cependant, après l'achat de la Louisiane, les Américains sont confrontés bientôt le problème de la torture au cur de la Nouvelle-Orléans et tout au long du 19ème siècle: la ville est un abattoir géant, près de la moitié des nouveaux immigrants en raison de la terrible fièvre jaune il est mort. Toutes les quelques années, cette catastrophe sera populaire et parfois tuer huit pour cent de la Nouvelle-Orléans, tant de veuves et d'orphelins vivants deviennent. En allemand et irlandais dominé par la communauté bondée, près d'un tiers des habitants sont morts. En 1853, environ 12000 personnes ont été tuées à la Nouvelle Orléans (10% de la population urbaine), en même temps, plus de personnes sont mortes de Moore de l'Alabama (Mobile, Alabama), Louisiane Baton Rouge ( Baton Rouge, Louisiane), et Vicksburg Mississippi Natchez (et Natchez Vicksburg, Mississippi) et au Texas Galveston (Galveston, Texas), l'épidémie de cette année est devenue la plus importante de l'histoire des États-Unis l'une des catastrophes. Américains rêve de l'empire est enveloppé dans cauchemar épidémiologique.

La figure d'un homme est entré dans la fin de la fièvre jaune, les yeux et le nez commencé à saigner. Il a également montré la peau jaune, qui est la manifestation de la jaunisse, la fièvre jaune est un symptôme commun. ( « Caractéristiques, le teint et l'apparence hémorragique d'un immigrant de Madère à un stade avancé de la fièvre jaune », dans Daniel Blair, certains compte de l'épidémie Dernière fièvre jaune de la Guyane britannique (Londres, 1850), Plate IV. Wellcome Collection, Londres, https://wellcomecollection.org/works/fesf9th3.)

Épidémie de flambée de fièvre jaune nécessite trois conditions: il y a beaucoup de moustiques, énorme, bondé et l'immunité extrêmement faible de la population, le climat tropical ou subtropical. Tout au long du 19ème siècle, la fièvre jaune fait partie de la vie dans le sud inévitable, la Nouvelle-Orléans a également entraîné la panique presque constante. Les moyens aucun traitement, aucun vaccin, il n'y a pas de preuve claire pour prouver le mode de transmission de la maladie, ni une explication satisfaisante de réponse pourquoi certaines personnes ont été tuées par la maladie, d'autres sont encore en bonne santé. De plus, les malades, et il est mort d'une façon horrible de mourir, les yeux du patient, le nez et les oreilles des saignements, des vomissements caillots de sang partie d'un condensé, était un peu épais comme le marc de café. Les médecins ont souligné que la seule façon de résister au mal est la « adaptation » - obtenir une fièvre jaune et survivre. Mais la « adaptation » n'est pas une chose facile: la moitié des patients de fièvre jaune ont été l'immunité à vie, tandis que l'autre moitié est morte.

Au 19ème siècle, la quasi-totalité des données de mortalité ne sont pas exactes. Ceci est non seulement parce que les critères de diagnostic ne sont pas uniformes, mais aussi en raison du comité de santé (Conseil de santé) les données officielles sous-estiment la collection à long terme des non-Blancs et la « population flottante » (les touristes de passage et de l'équipage) chez les patients. Les fonctionnaires municipaux prendront en compte la sous-évaluation délibérée du nombre de décès de continuer à encourager l'immigration locale, maintenant, les gens pensent que le nombre réel de décès est double ou même triple le compte rendu officiel. Ce graphique montre les trois tendances spécifiques: d'abord, l'épidémie de fièvre jaune mesure dans la seconde moitié du 19ème siècle croissance rapide a atteint un sommet en 1853, d'autre part, pour la première fois une régression significative de la maladie a eu lieu pendant la guerre civile, cette fois-ci les troupes fédérales occupé ce lieu, en troisième lieu, nombre de morts de la fièvre jaune depuis 1878, une baisse significative de l'épidémie ont de petites épidémies en 1897 et 1905, et finalement a été éliminé au début du 20e siècle. (Données compilées à partir de JC Simonds, une adresse sur l'état sanitaire de la Nouvelle-Orléans (1851), il suffit Touatre, la fièvre jaune :. Notes cliniques (1898), Henry Rightor, ed, Histoire standard de la Nouvelle-Orléans, Louisiane (1900); George Augustin, Histoire de la fièvre jaune (1909), K. David Patterson, "épidémies la fièvre jaune et la mortalité aux États-Unis, 1693- 1905" (1992), Margaret Humphreys, la fièvre jaune et du Sud (1992), Henry M. McKiven Jr., « La construction politique d'une catastrophe naturelle: L'épidémie de fièvre jaune de 1853 » (2007) et ingénieur Urmi Willoughby, fièvre jaune, race et écologie au XIXe siècle Nouvelle-Orléans (2017)).

Face à une si terrible maladie et de mortalité, pourquoi les immigrants ont également continué à l'autre dans la région du Sud - le pays est soi-disant « cimetière »? Une telle image de la vie dans la mort est comme? Comment la ville est soumise à la consommation continue de la prévalence en direct de la maladie, comblant le traumatisme a causé, et d'établir un système social et économique efficace dans un tel moment critique de celui-ci?

Ce fait en 1871 ou 1872 dessin au crayon montrent une flambée épidémique de la peste. Peindre les corps de deux hommes seront déplacés dans la tombe ouverte, deux femmes sont mortes à cause de l'amant désemparé. (Alfred Rudolph Waud, "La fièvre jaune, NO" The Historic New Orleans Collection, A propos de la façon dont les gens vivent dans une telle image tragique de la mort, les statistiques ne peut nous donner quelques conseils. Un homme du nom de William Crenshaw (William Crenshaw) Dans une lettre à un ami pasteur Nouvelle-Orléans a décrit un sentiment très répandu: « Vous ne pouvez pas imaginer ce terrible catastrophe qui se passe ici Pensez-y, nous sommes. voisins sont morts huit en 10 jours ...... ce qui est arrivé à deux pas de chez nous. « conclut-il, » Peu importe où je vais, la maladie et la mort me regardent fixement. Je écriture la prochaine fois que ces lignes, mon esprit flashé une pensée, peut-être que je ne vois pas vous. « (William Crenshaw Nathaniel F. Bowe, le 11 Septembre 1841, William A. lettres Crenshaw, la Nouvelle-Orléans public Library. )

Par un invisible mais efficace système « capital immunité », de la fièvre jaune survivre faits donnant une légitimité aux nouveaux immigrants, et fournit un laissez-passer pour eux, de sorte qu'il peut être difficile à atteindre dans la communauté dans le passé, politique et économique puissance sur le terrain. Selon le principe de la suprématie blanche, le statut de tous les Blancs que les Noirs sont. Cependant, lorsque ce racisme structurel et le « capital de l'immunité » l'intégration de la hiérarchie, les « adapter les citoyens » qui est des survivants de la fièvre jaune qui ont profité de pour saisir toute la puissance, et « ne pas adapter des étrangers, « qui est juste au nord des colons européens ou pauvres colons blancs, puis torturé et malaise social au travail, et a été fondée sur l'exclusion épidémiologique.

La photo montre la série de scènes horribles de l'épidémie 1878 qui fait rage, la fièvre jaune au cours de cette période non seulement engloutie Nouvelle-Orléans, diffuse également dans tout le sud de la zone nord de Memphis, Tennessee. Au milieu de l'écran affiche les artères de la ville les plus fréquentés de la circulation habituelle - le cas de Canal Street, où le seul excès de vitesse abandonné corbillard. L'image ci-dessus, les deux tramp étant malade sur un banc de parc, tandis que l'homme riche passe par. Un grand nombre de ces scènes montrent que la fièvre jaune des effets différents selon la race, le sexe, la situation familiale et des classes de personnes. ( "La Grande fièvre jaune Scourge.-incidents de ses Horrors dans les quartiers les plus mortels des États du Sud," gravure sur bois de journal illustré de Frank Leslie, le 28 Septembre, 1878. The Historic New Orleans Collection, http: //hnoc.minisisinc .com / thnoc / catalogue / 1/22068).

Pour les blancs, la conversion de l'immunité au capital économique, parce que depuis tous les travaux ne seront fournis à ceux qui prétendent se sont adaptés à la maladie. Les gens d'affaires ne coopèrent pas avec ceux qui ne peuvent pas fournir un certificat d'adaptation à la maladie, les banques ne fournissent pas des prêts à ceux qui ne peuvent pas prouver qu'il avait survécu dans une année donnée. De nombreux immigrants, en particulier en Irlande et l'afflux d'immigrants allemands dans les années 1830, tout ce dont ils ont besoin rapidement au lieu de s'adapter progressivement à l'environnement, ils vont essayer de prendre l'initiative de activement malade. Ironie du sort, face à la catastrophe est la seule façon claire peut survivre à long terme et le développement, et pour ceux qui essaient de planter du coton, et les entreprises de commerce de gros qui cherchent l'avancement de carrière, et l'espoir que comme un tremplin pour se procurer des esclaves terrestres et les jeunes hommes blancs , en particulier.

Même si beaucoup de gens l'immunité et la mort pas de problème grave, parce qu'il ya des migrants pour bateaux chargés de remplacer le défunt. Une fois ne peut pas être guéri par la santé publique ou le blocage de la fièvre jaune, les élites commerciales et municipales réclamerait que la mort causée par la maladie peut être convertie en panacée sociale, éliminer les personnes faibles, moralement corrompus et sans valeur. Aptitude aux colons blancs et la vie future sont critiques, parce que localement, il est connu comme la richesse de « pass », « né de nouveau » et « baptême de la citoyenneté. »

Pour la peinture dans le dessin animé des années 1970 en revue la peste 1878. Un squelette - « Yellow Jack » (Jack Jaune) - une jeune mariée escorté à travers les plis de fleurs entassées cercueil, le cercueil était la mariée et exactement la même personne. Peintures dépeignant Elizabeth Jane se sont produits dans Stanford (Elizabeth Jane Stafford) qui est la vraie histoire, la jeune femme du Mississippi à la Nouvelle-Orléans pour essayer sa robe de mariée, au cours de l'infection de la fièvre jaune. Elle est morte le 12 jour avant le mariage. John Churchill Chase (John Churchill Chase) dans "John Wells" (John Wilds) explique: « En 1878, nous avons ici ...... puis il est devenu une femme fantôme orange touristique. « (Les Etats-article 5 Avril, 1977. The Historic New Orleans Collection,

Pour les femmes, la capitale immunitaire sur le marché du mariage est d'une grande valeur. Courtship des hommes exclura les femmes ne doivent pas s'adapter aux maladies infectieuses, parce qu'ils craignent que ces femmes sont mortes prématurément avant d'avoir des enfants. Un père créole ne laissera pas sa fille avec les hommes ne s'adapter aux maladies infectieuses à parler, de peur qu'elle a épousé une telle personne, parce que si son mari est mort, elle a besoin de récupérer leur dot par des procédures juridiques longues dans l'ordre. Les histoires d'horreur partout visibles à ce moment. Dans le WPA (Note: le récit esclave WPA, est le New Deal par les écrivains fédéraux du projet (Federal Writers Project)) faire des entrevues avec d'anciens esclaves histoire sud-initiés), celui d'aujourd'hui Saint-Martin Paroisse (St. Martin Parish ) des anciens esclaves Olivier Blanchard (Olivier Blanchard) a rappelé que, après un homme du nom de Colleen Bonnie (Colene) Bonnier femmes envisagent de se marier ce dimanche, mais malade vendredi. Elle a été enterrée rapidement après la mort. Plus tard, quand son corps a été déterré du sol à nouveau les tombes, on a découvert qu'elle a été enterrée vivante, et elle avait mangé « les épaules et les mains. » Selon la description de Blanchard, après avoir vu le corps de son fiancé, la maison aller a donné naissance à la fièvre jaune, et pour toujours.

Au cours de l'épidémie de fièvre jaune, accident enterre l'histoire de la vie est très populaire parmi le sud plus bas. Parce que les patients tombent souvent dans le coma avant sa mort, le temps de la mort et les funérailles et parfois seulement séparés par quelques heures, dans la période chaotique de l'épidémie ravage le mauvais patient diagnostiqué comme la mort est possible. Xu à l'intérieur du cercueil de plus que la Nouvelle-Orléans, ont trouvé des rayures importantes.

Presque aucune information dépeignent directement des esclaves expérimentés au cours de la fièvre jaune. Racist conception de l'immunité de sorte que les Noirs sont souvent situés dans le traitement de première ligne des patients. Sur la figure, nous pouvons voir deux hommes à la recherche après un patient de la fièvre jaune, les médecins blancs sont la température du corps du patient, tandis que les Noirs avec de l'eau glacée pour nettoyer la jambe du patient, une telle scène avant la guerre civile a joué un nombre incalculable de fois d'abord et Avant tout. (Gravure de James Dugan, Docteur Dispachemquic. Une histoire de la peste de 1878 Grand Sud (Nouvelle-Orléans, 1879), frontispice)

Malgré tout face à la menace de la fièvre jaune, le plus important est la soudaine et terrible mort, mais d'adapter à la maladie potentielle a d'énormes mais seulement pour les Blancs. Les théoriciens de soutien à l'esclavage des Noirs croient peuvent résister à la fièvre jaune naturelle, cette avantages de l'immunité innée et les inconvénients de droit d'aînesse intellectuelle noir, en les plaçant entre le sort d'un jour donné, de sorte que le prochain sud de la zone de plantation les cultures de rente. Cette logique en outre estimé que seules les personnes en sécurité l'agriculture du corps noir à l'abri dans l'espace rempli de la menace des épidémies, ce qui porte la richesse et la puissance de leurs maîtres blancs. Ainsi, tout comme pour les Blancs, étroitement lié au concept de cette immunité et de la citoyenneté et de la légalité, l'esclavage des Noirs a été inversé cette logique, l'élite blanche pour créer un négatif immunitaire aux Noirs de capital de récompense: les plus esclaves peuvent survivre longtemps et créer de la richesse pour leurs maîtres, à plus forte raison de les réduire en esclavage.