À l'heure actuelle, l'Italie est devenue l'un des nouveaux pays de l'épidémie de pneumonie couronne du monde les plus touchés, avec la propagation du virus, les médecins de triage le médecin quand ils sont mieux que de les combattre pour décider qui peut être attribué à un lit de soins intensifs limitées.
dans un hôpital dans le nord de l'Italie Schiavone Virginie, le personnel médical traitent un patient. Figure Selon le « Daily Mail »
Selon « New York Post » a rapporté le 10, au centre de Bergame, en Italie, une nouvelle épidémie de pneumonie épidémie couronnera la première région, le Dr Daniel Macquigny travaillant à Bergame Humanitas Gavazzeni hôpital a publié un long article sur le livre de visage, détaillant comment l'hôpital fait face à la situation dramatique, ainsi que ses collègues de lutte acharnée avec le virus.
Et parce que la pénurie de lits d'hôpitaux, les médecins doivent se fonder sur les recommandations du « âge et les chances de survie » chez les patients gravement malades « screening » de traiter un sujet, comme les médecins de triage en temps de guerre, ces décisions seront de l'ordre de la vie et la mort d'une personne.
Le médecin a publié un document sur l'épidémie: la guerre a éclaté vraiment
À l'heure actuelle, l'Italie a des milliers de personnes infectées par la nouvelle couronne de virus, il y a 631 personnes sont mortes, 60 millions d'habitants dans la mise en uvre d'un programme de mesures de quarantaine « ville fermée » nationale sans précédent du pays.
Médecins Macquigny à son poste, a écrit: «Après mûre réflexion, je pense que le silence est irresponsable » L'article dit, cela est comme une guerre implacable, quartier plein de gens, les médecins continué à travailler . Cependant, les gens ne sont généralement pas pris suffisamment au sérieux, « le risque de ce qui se passe et nous n'avons pas été au courant. » Il a dit: « Je vais essayer de transmettre les conditions de vie de Bergame épidémie de pneumonie au cours de la nouvelle couronne loin de la réalité du peuple. »
Son article a été traduit par un épidémiologiste et chercheur Dr Silvia Stringhini Institut pour la santé mondiale, Université de Genève, était fou transmis sur Facebook.
Daniel Dr Ma carte Jini Selon "New York Post"
Bergame est l'une des régions les plus durement touchées de l'Italie, la ville est située au nord-est de Milan, à environ 30 miles, une population d'environ 122.000 personnes. La ville a été diagnostiqué avec de nouveaux cas d'infection en 1245 cas de la couronne de la pneumonie.
« Voir les changements, je fus surpris tout au long de l'hôpital la semaine dernière, notre ennemi actuel est encore sombre, la salle a été peu à peu épuisé ...... » il écrit dans le message, « Je me souviens d'attendre une semaine il y a écouvillon lorsque les résultats des tests de nuit téléphone. à ce moment-là, mon anxiété est presque ridicule et déraisonnable, mais maintenant je suis tout témoin, avec dramatique pour décrire ne suffit pas ".
« Maintenant, la demande de lits au-delà des attentes de chacun, un par un département est rempli à un taux alarmant. » Il a dit: « La guerre est en effet éclaté, jour et nuit se battre continuer. »
nuit en salle d'urgence entre les accidents: Certains d'entre nous ont été infectés
ville Codogno dans le nord de l'Italie, un hôpital ajoute de nouveaux lits. Figure Associated Press
Les médecins Macquigny mis en garde contre les gens de ne pas couronner une nouvelle pneumonie alors décrit comme « grippe sévère, » il cette épidémie comme un « tsunami nous a balayé tous. »
Il a dénoncé ceux qui « se vanter qu'ils ne craignent pas d'ignorer les instructions et l'orgueil, se plaignait de leur vie quotidienne temporairement en crise, mais a été en fait dans l'épidémiologie des catastrophes se produire ».
Il a dit: « Sous Maintenant, quelqu'un peut-il expliquer à moi, quel type de virus de la grippe peut provoquer un doublement soudain dans des cas réels dans notre hôpital tous les jours 15-20 personnes admises à l'hôpital pour la même raison d'un échantillonnage des résultats. après une autre répétée: positif, positif, positif ...... salle d'urgence est soudainement effondré du jour au lendemain entre, « il continua à prêcher.
Macquigny l'hôpital chaque ventilateurs disponibles sont appelés « or », travaillant à ses côtés tous les médecins et les infirmières ont été épuisées. « Je pouvais voir le visage fatigué de tout le monde, et je vis la solidarité de tous, tout le monde demandera des collègues médicaux: « Que puis-je faire pour vous? ». »
« Les infirmières yeux de larmes, parce qu'ils ne peuvent pas sauver tout le monde. » Il a ajouté. « Notre vie sociale a été suspendue à cause de la peur de l'infection, nous voyons aussi ma famille. Malgré le manuel d'instructions, mais certains d'entre nous qui ont été infectés. »
Macquigny a souligné que, après certains de leurs collègues ont été infectés, et l'infection est maintenant dans la « lutte au bord de la vie et la mort, » la famille. Par conséquent, il a appelé et a dit: «! Alors, s'il vous plaît soyez patient, et maintenant ne peut pas aller au théâtre, les musées ou la salle de gym s'il vous plaît avoir une trace de pitié pour les nombreuses personnes âgées peuvent être infectés par ce »
« Je veux enfin dire est, je ne comprends pas vraiment que les gens choisissent de paniquer pour faire face à cette guerre, la seule chose que je vois est effrayant en raison de la pénurie de masques. Cependant, au cours de cette épidémie, panique vraiment mieux que la négligence et insouciante pire il? "
les heures supplémentaires de travail de l'hôpital: lits de soins intensifs ne sont pas nécessairement « premier arrivé, premier servi »
Bergamo un autre médecin, anesthésiste Sarah Rowley Christian dit à l'italienne « Corriere della Sera », en raison de la pénurie de lits, les médecins ont été contraints par l'âge et les chances de survie, comme en temps de guerre « le choix de la cible de traitement ".
Chambre d'hôpital Nord de l'Italie Lombardie USI occupation complète. Figure Reuters
Selon l'opération « Daily Mail » a rapporté un autre médecin dans le nord de l'Italie, a déclaré hôpitaux sont « capacité de 200% », la salle d'opération a été vite converti en une unité de soins intensifs. Avec la propagation rapide du virus en Italie, les médecins de triage le médecin quand ils sont mieux que de les combattre pour décider qui obtient les lits de soins intensifs limités.
« Nous ne pouvons pas essayer un miracle, c'est la réalité », a déclaré Sarah Raleigh.
Selon le British Sky TV a rapporté que, compte tenu de la pénurie de lits de soins intensifs et a rapporté l'épidémie, Italie anesthésiologie et de médecine de soins intensifs émis 15 recommandations normes d'admission en soins intensifs, les critères comprennent l'âge du patient et la probabilité de survie, non seulement le « premier arrivé, premier trop ".
Dr Sarah Raleigh, dit-il et ses collègues doivent maintenant sélectionner les patients qui peuvent ou ne peuvent pas être mécaniquement récupération (par intubation) des patients les plus malades.
Tout d'abord, les patients hospitalisés auront une pneumonie virale et une insuffisance respiratoire aiguë, les masques à oxygène étaient en utilisant la ventilation non invasive (VNI). « Ceci est la première étape dans le traitement, mais après quelques jours, nous devons faire un choix. Malheureusement, en raison d'un déséquilibre entre le nombre de ressources hospitalières, des lits de récupération et les patients gravement malades, pas tout le monde peut intubation. Nous sommes en fonction de l'état de l'âge et de la santé déterminé « , at-il dit.
Puis, il a expliqué :. « Si un patient entre le 80 ans à 95 ans une insuffisance respiratoire sévère, nous ne sera probablement pas prendre des mesures si elles sont défaillance multiviscérale, que deux ou trois organes vitaux, ce qui signifie leur taux de mortalité est de 100% ».
Quand on lui demande le gouvernement italien a décidé de « ville fermée » pour contrôler l'épidémie, les médecins Sarah Raleigh, il a dit que la décision était « appropriée, mais une semaine de retard. » Il a averti que l'important est maintenant de « rester à la maison, rester à la maison. Je souligne encore et encore. J'ai vu beaucoup de gens dans la rue, vous vous engagez simplement à comprendre ce qui est arrivé à la fin. »
Red Star Nouvelles journaliste Wang Yalin rapports de compilation de bradycardie
Peng Yi Modifier
